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Gramática: morfología verbal [1 resultados]

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I-074 A01 Celui-là est plus grand. Celui-là est plus petit. Je suis plus jeune que toi. Celui-là est plus vieux que toi. Celui-là est meilleur. Celui-là est pire. C’est mieux ainsi. Ainsi c’est pire. Celui-là est de plus en plus grand. Celui-là est de plus en plus vieux. Vous êtes aussi jeune que moi. Celle-là est aussi âgée que la mère. Vous êtes aussi grand que celui-là. Celui-ci est aussi bon que le vôtre. Je préfère ceux-ci à ceux-là. Je préfère le matin que l’après-midi. Vous avez apporté davantage que moi. Celui-là a acheté moins que nous. Vous avez autant d’argent que moi. Celui-là a mangé autant que le frère. Celui-là est trop grand. Celui-là est trop petit. Ils ont apporté trop. Celui-là a trop. Celui-là est le plus jeune des garçons. Celle-là est la plus âgée des femmes. Je ne suis pas si gras. Vous n’êtes pas si grand. Celui-là n’est pas si mince. Celui-là est très grand. Celui-là est très petit. Ici il y a beaucoup de brebis. Ils ont apporté beaucoup d’oignons. Cela est assez chaud. Assez froid. Celui-là est très grand. Celui-là est très jeune. Celui-là est très joli. La rivière est sale. La nourriture est salée. Cela est dit. Cela est cassé. J’ai effectivement entendu cela. J’ai compris quelque chose comme cela. Celui-là est le curé du village. Il est curé dans cet autre village d’à côté. Mon frère est berger en Amérique. Ils ont envoyé celui-là comme domestique. Ils ont pris celui-là pour maire. Il s’est jeté à l’eau. La mère a mis la marmite sur le feu. Ils l’ont emmené dans les bras. Ceux-là sont restés au soleil. Ils sont allés à gauche. Les pommiers sont en fleurs. J’ai mis la marmite à feu doux. Ils l’ont mis dans l’eau de la fontaine. Il est resté à ma gauche. J’ai tenu l’enfant dans mes bras. Nous sommes restés sur place. Ils sont venus par le même chemin. Nous avons bu un verre d’eau. Ils ont apporté une pleine charrette de foin. Donnez-moi un kilo de poires. Combien vaut un kilo de poires ? J’ai attendu une heure. La cuisine fait trois mètres de long. Ils sont venus à une dizaine. Nous irons souper à une quinzaine. Ils prennent cent pesetas au kilo. Ils donnent deux cents pesetas pour chacun. Vous mangerez ceci à moitié. Dans cette maison, ils nous donné un peu de fromage à chacun. Nous en avons trois chacun. Son ami (lui) est venu. Celui-là a apporté des poules et son frère les a tuées. Son propre père l’a frappé. Sa mère lui parle toujours en euskara. Sa sœur a apporté le souper. Avez-vous acheté quelque chose ? Avez-vous vu quelqu’un dehors ? Je n’ai rien apporté. Je n’ai vu personne. Ceux-là ont apporté quelque chose. Quelqu’un est entré dans la maison. N’importe qui peut venir. Dis n’importe quoi. Un enfant viendra demain. Ils amènent une brebis. Chacun vit chez soi. Chacun fait ce qu’il veut. Cela est difficile pour chacun. Chacun peut le faire. Nous avons mangé ensemble. Ceux-là sont venus ensemble. Nous nous sommes assis l’un derrière l’autre. Nous nous connaissons. Celui-là est d’ici. Il est ici. L’avez-vous quelque part ? Vous êtes-vous déjà trouvé à Etxalar ? Sont-ils allés quelquepart ? Ils l’ont pris pour un idiot. Ils l’ont pris pour ami. Dans quelle maison se trouve t’il ? Je suis resté dans trois maisons. Je viendrai dimanche. Le bruit a duré toute la nuit. Ces dernières années il est resté à l’extérieur. Il est resté trois jours à Iruñea-Pampelune. Celui-là est resté de nombreuses années en Amérique. Attendez un peu. Fermez un peu la fenêtre. Il a été mal pendant deux semaines. Combien de jours êtes-vous resté à l’extérieur ? Il est resté deux jours sans venir. Ces jours-ci il n’est pas venu. Ces jours-ci je ne l’ai pas vu. Le poulet est à cent pesetas. Dans quelle montagne avez-vous été ? Je me suis rendu dans trois maisons. Je le revis trois jours plus tard. Je dois partir d’ici quatre semaines. De quelle maison venez-vous ? Je suis venu de trois maisons. (Depuis hier) je ne l’ai pas vu. (Depuis lors) il n’est pas venu. Ils sont allés de rue en rue. Ils sont venus de porte en porte. De quelle maison est votre femme ? Combien de portes compte la maison ? De quelle couleur est la jupe ? Un enfant de quatre ans est venu. Ils ont apporté une pierre de cent kilos. Par ta faute nous sommes arrivés en retard. Ils l’ont fait pour l’argent. Malgré tout nous l’avons bien fait.. Malgré toi nous sommes arrivés vite. D’où me connaissez-vous ? Depuis quand ne l’avez-vous pas vu ? La neige est bonne pour les terres. Cela est mauvais pour la santé. Il sera là pour demain. Ceci est pour aujourd’hui. Nous avons pris l’autobus pour Iruñea-Pampelune. C’est le chemin de la maison. Pour quand est le travail ? Pourquoi avez-vous fait cela ? Nous sommes restés jusqu’à trois heures. Ils ont parlé jusqu’à cinq heures. Jusqu’à quand resterez-vous ici ? Ils sont allés jusqu’à la maison. Ils viennent dans trois jours. Il partira au bout d’une semaine. A cette heure-là il reste déjeuner. Celui-là vient souvent. Ils soupent tard. Celui-là est toujours pareil. Celui-là est venu souvent. Celui-là a parlé avec la mère. Le mois prochain ils viendront souvent. L’autre semaine nous le verrons souvent. S’il vient rapidement je le verrai. Si vous apportez cela, je l’emmènerai à la maison. Si j’avais de l’argent, j’aimerais vivre bien. Si j’allais en montagne, je me perdrais. Si vous apportiez cela, nous l’emporterions. Si celui-là était Basque, il resterait avec nous. S’ils n’apportent pas de pain, nous ne souperons pas. S’ils ne viennent pas rapidement, ils ne nous verront pas. Je peux aller à la maison. S’il faisait beau, nous irions à la montagne. Je peux venir demain. Je peux rester avec celui-là aujourd’hui. J’apportai le repas. La mère pouvait rentrer à l’église. Peut-on entrer ici ? On peut dire cela. Celui-là peut entrer dans la maison. Celui-là peut dire ce qu’il veut. Je veux qu’il vienne. Ceux-là veulent rester ici. Prends cet enfant, qu’il ne tombe pas. J’ai fermé la porte pour qu’il ne prenne pas froid. J’ai peur qu’il vienne. Il a peur qu’on lui enlève. Celui-là a peur de tomber. Qu’il vienne. Qu’il l’apporte. Qu’il ne parte pas. Qu’il ne mange pas. S’il pleuvait aujourd’hui. S’il faisait beau. Je dois aller à la maison. Demain je devrai aller à la montagne. Ce matin j’ai dû aller à la maison. Celui-là veut se marier. Demain il voudra venir. Aujourd’hui le père a voulu venir plus tôt. Je ne peux pas venir avec vous. Demain je ne pourrai pas venir. Ce matin je ne pouvais pas venir plus tôt. Ils ont fait pleurer l’enfant. Ils ont fait venir le père. Ils ont fait venir celui-là. La mère l’a fait lever tôt. Ils lui ont fait tout finir. Nous sommes en train de souper. Quand il est venu j’étais en train de déjeuner. Demain quand vous viendrez je serai en train de finir. Qu’êtes-vous en train de faire ? Que faîtes-vous là ? Qu’avez-vous dans les mains ? Ici j’ai ceci. Il pleut. Demain il neigera. Ce matin il a neigé. Ici il fait très froid. Ici il neigeait souvent. Celui-là sait chanter. Il s’est aventuré à le prendre. Ils m’ont laissé passer. Ils m’ont donné à manger. Celui-là continue à étudier. Je l’ai accompagné à la maison. Je l’ai regardé. Je l’ai appelé. Je l’ai attendu. J’ai attrapé le chien. J’ai fini. Ils m’ont suivi. Celui-là se souvient du village. Je ne me souviens pas du nom. Je me suis rendu compte de cela. Que vous importe ? Cela m’est égal. Cela n’a pas d’importance. Que vous semble t’il ? Cela me paraît bien. Je suis monté à la maison. Je suis sorti tard. Le chien est dehors. Je suis debout. Ce matin je suis allé à Irurtzun. Celui-là est resté assis. Il est difficile de croire cela. Il est facile de dire cela. Je préfère venir demain. Celui-là préfère s’arrêter. C’est moi qui ai le pain. J’ai la clé dans la poche. C’est moi qui ai cela. C’est vous qui avez gardé le pain.