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euskara: usage [2 resultados]

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N-008 B01 Au travail elle parle peu en euskara parce qu’à Pampelune il y a peu de bascophones. Pourtant, celui qui sait l’euskara essaie de parler.
N-029 A01 Présentation. Comme son père arriva à Elizondo. Son père était très attaché à l’euskara. Durant toute sa vie, il ne lui adressa jamais la parole en castillan. A quatorze ans, il commença à travailler à l’horlogerie avec son père. A Elizondo, le castillan était la langue dominante, en revanche les villages environnants étaient vraiment bascophones. Pourtant, ces dernières années, les gens des villages environnants venus s’installer à Elizondo et le travail très important réalisé par l’ikastola ont fait revenir l’euskara. Avant la guerre, l’euskara avait connu un réveil, des livres et des journaux commençaient à être publiés. Tout cela s’acheva avec la guerre, la culture basque disparut ; et de nombreuses années passèrent ainsi. Puis, petit à petit, on commença à publier le calendrier et la revue d’Arantzazu, ainsi que quelques livres. Lui-même commença à écrire dans les revues “Zeruko Argia” et “Principe de Viana”. Dans les années 60, il organisa des concours et des festivals d’improvisation. Il écrivit aussi deux romans et le Dictionnaire de Baztan. Chaque semaine il relate des événements de Baztan dans les journaux “Diario de Noticias” et “Diario de Navarra”. Aujourd’hui il y a une culture plus vaste et par le biais de la culture, l’euskara se renforce. Si l’on ne parle pas en euskara, on n’avancera pas, il faut parler. Le sujet de ses deux romans. De temps en temps il écrit également pour l’hebdomadaire de Baiona-Bayonne “Herria”. Il n’a pas envie d’écrire un autre roman ; pour autant, il a l’intention de travailler encore en faveur de l’euskara et à la rédaction d’articles.