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religion: funéraires [8 resultados]

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D-062 A13 Les funérailles étaient différentes. On portait le cercueil à l’épaule jusqu’au cimetière. Pour la messe il y avait toujours au moins deux enfants de choeur.
D-066 A03 Les funérailles étaient différentes selon la condition du défunt, il en était de même pour les offrandes qui devaient être faites au curé. Funérailles d’enfants.
D-066 A06 Tous devaient se rendre aux obsèques vêtus d’une cape.
I-035 A06 Comme pour les noces, pour les enterrements le repas se faisait à la maison, mais cette coutume a disparu. En plus d’avoir perdu un parent, devoir assumer pareil travail était exagéré.Il fallait donner aux curés un agneau pour pouvoir manger chez le curé, tandis que les autres gens du village allaient manger dans la maison du défunt.En plus il fallait préparer une entrée : soupe, pois chiches. C’était une dépense terrible.
I-011 A06 Comment ses parents se connurent. Quatre de leurs frères moururent : un à la guerre, et les autres de maladie. Les enterrements d’enfants étaient très courants. Avant il n’y avait pas de voiture et quand on prévenait la famille éloignée, ils venaient la veille, car les funérailles avaient lieu le matin. La maison se remplissait de gens qui venaient dormir, le matin petit déjeuner pour tout le monde, et à la mi-journée un bon repas.
I-041 B06 Funérailles : quand quelqu´un mourait, les voisins se rendaient dans la maison du défunt pour apporter leur aide. Ils faisaient le cercueil. Le bois était toujours préparé dans la maison. Le soir, les enfants priaient et on les appelait "hilortzaileak" (les enterreurs). Ils allaient dans les villages où se trouvaient des parents pour les inviter. On faisait un grand repas. Si quelqu´un n´était pas invité, il y avait de vives discussions. Le défunt demeurait généralement dans la maison. Autrefois, tous mouraient au village, ils n´allaient pas à l´hôpital. S´il fallait soigner un malade, des gens venaient à domicile, même s´ils n´étaient pas de la famille. De même on venait donner un coup de main pour le travail.
I-048 B13 métiers: fossoyeur Quand quelqu´un mourait, on cherchait quatre fossoyeurs. C´était des jeunes gens qui s´occupaient de la dépouille et qui faisaient le trou. On donnait un chêne à la famille pour le bois, et les fossoyeurs coupaient aussi ce bois. Le charpentier faisait le cercueil. A présent, ils les font venir d´Aezkoa et de Pampelune.
SK-004b A01 bouddhisme Son oncle mourut à l´hôpital. Les infirmières le nettoient et changent ses vêtements, mais la cérémonie commence à la maison. Dans la pièce principale on place le corps du défunt la tête vers le nord. (On ne peut pas dormir avec la tête vers le nord). On l´habille de blanc et on lui joint les mains, les doigts croisés. Quand les mains tombent, on les attache avec un lien et on lui met un tissu blanc sur le visage. L´encens et les cercueils. L´autel est parfois installé dans la maison même et d´autres fois dans le funérarium. Lors de la pré-cérémonie, les gens vont brûler de l´encens et présenter leurs condoléances à la famille. La nuit, on passe la nuit à côté du corps, sans laisser les bâtons d´encens s´éteindre. La décoration : devant la porte, une grande couronne et le couloir délimité par des fleurs sur toute sa longueur. Dans ce cas, l´entrée était entièrement remplie de fleurs. La famille se tient devant la porte de l´église, assise autour d´une longue table. Elle recueille les noms sur un cahier spécial, ainsi que l´argent. Ensuite, on fait un repas. Dans la cérémonie, il y avait trois religieuses. A la fin des prières et des chansons du livre saint, qui au lieu d´être lues sont chantées, on présente les condoléances et on salue la famille. En troisième lieu, on brûle l´encens et on lit les télégrammes. Les gens qui sont restés dehors vont en file brûler l´encens et accomplir le même rite.