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euskara: disparition [16 resultados]

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I-021 A04 Les deux frères furent à Mezkiritz pour acheter une vache.(10.37”) A Mezkiritz on parle peu en euskara.
I-095b B03 Age et nom: Eulogio et Jacinto.(06.10”) Ils demandent à l’enquêteur comment il a réussi à savoir qu’il y avait une personne bascophone dans cette maison. Jusqu’à quel moment ils parlèrent en euskara et la perte de la langue depuis la guerre.
N-035 A01 franquisme Introduction : raisons pour lesquelles l’euskara est en train de disparaître. L’époque franquiste à Etxarri : quand il était jeune, la majorité parlait en euskara. A l’école il était interdit de l’utiliser. Les messes étaient en castillan ou en latin. Quand ils allèrent à la guerre, ils savaient très peu de castillan.
I-073b A10 Les jeunes ne parlent qu´en castillan et à Latasa encore davantage. Ses deux filles ne savaient pas le castillan quand elles allèrent à l´école, et on les prenait pour des idiotes. Son père ne savait pas du tout le castillan. Ils dirent à son instituteur qu´au village, personne ne savait le castillan. Quand il arriva, il dit qu´il ne voulait pas entendre un seul mot en basque. C´est alors que le castillan fit son apparition dans le village. Don Gregorio a toujours célébré la messe en castillan. A Goldaratz et Etxaleku, il les célébrait en euskara.
IR-020 A02
IC-002b A02 mode de vie
IC-012 A07 euskara: différents dialectes - euskara:
IC-006a A06
IC-001 A02 Il est dommage que l’euskara se perde. Elle est la dernière à le parler dans sa famille. Une petite-fille dit qu’elle va l’apprendre, mais cet euskara là est différent. L’euskara de Salazar est bâclé, c’est pourquoi elle ne veut pas le parler, celui de Donostia-san Sebastian en revanche est clair.
IC-001 A09 Pendant la guerre, tous les garçons et les filles parlaient toujours en euskara, mais beaucoup d’entre eux sont morts. L’euskara s’est perdu parce que les jeunes n’ont pas voulu le parler. Son fils parlait en euskara, mais plus maintenant. Elle non plus ne le parle pas parce qu’elle ne sort pas de la maison.
IC-002c A02 A Roncal elle n’a pas parlé en euskara, à Aezkoa si, mais peu de gens le parlent. Elle ne comprend pas l’euskara de Aezkoa parce qu’il est différent. Les derniers bascophones de Salazar sont à Jaurrieta et Otsagabia, mais ils sont très peu nombreux.
IC-003c A05 Avec les Roncalais, il a toujours parlé en castillan. Là-bas l’euskara s’est perdu avant qu’il se perde à Salazar. Ici il s’est perdu avant qu’il se perde à Aezkoa, et bien qu’à Aezkoa on le parle beaucoup, on le parle encore davantage dans le Baztan. Il y a de nombreuses années, on parlait en euskara dans tous les villages, d’ici à Ilunberri/Lumbier. A Jaurrieta huit ou neuf personnes savent l’euskara. Avant il parlait toujours en euskara avec sa femme, mais par la suite ils prirent l’habitude de parler en castillan.
IC-010b A04 (Bruits de coups de marteau en fond) L’euskara avait commencé à se perdre avant la guerre, ensuite, après la guerre, le déclin s’est accentué. Ceux qui commencèrent à l’apprendre abandonnèrent, parce que si on ne le parle pas à la maison, on ne l’apprend pas.
IC-016c A05 Les jeunes ne parlent pas en euskara, mais la plupart le savent. Ces dernières années, dans la rue on n’entend que du castillan. Ils ne renonçaient pas à parler en euskara et tous les livres étaient en castillan. Dans le village, il y a des jeunes gens et des jeunes filles de treize ou quatorze ans qui ne savent pas un mot en euskara bien que leurs parents soient bascophones. Quand les curés étaient bascophones, ils leur enseignaient le catéchisme en castillan, et quand la liturgie fut modifiée et que l’on abandonna le latin, même si le curé était basque, il enseignait le catéchisme en castillan.
N-001 A02 A l’école tout se faisait en castillan, et dans la rue aussi. Quand elle était petite, les militaires qui se trouvaient dans le village ne voulaient pas entendre un seul mot en euskara. C’est pourquoi l’habitude de parler en euskara dans la rue se perdit, mais à la maison, ils parlaient toujours en euskara.
N-014 A01 Quand il était jeune, on ne parlait pas un mot de castillan dans le village. Y compris les offices religieux étaient célébrés en euskara. En revanche, à l’école tout était en castillan. A l’école, le catéchisme était enseigné en castillan, et à l’église en euskara. En grandissant, ils commencèrent à entendre des choses comme “parle en chrétien”. Le fait de ne pas savoir le castillan était considéré comme l’apanage des sots et des gens de peu d’instruction. A cause de cela, et de la répression, de nombreuses mères commencèrent à parler en castillan à leurs enfants. La mère du locuteur ne savait pas le castillan. Le castillan est en train de pénétrer dans les villages bascophones. A Urdiain, l’euskara se maintient très bien grâce à J.M. Satrustegi. Dans les villages traversés par la route principale, l’euskara recule.