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euskara: différents dialectes [23 resultados]

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D-068 A09 Ils trouvent que le basque utilisé actuellement est difficile à comprendre. Il dit les mois. Il y a également des différences entre les villages. Ils gardaient les brebis à la frontière et là aussi ils avaient des problèmes.
D-079 A01 Présentation. Questions personnelles : noms et prénom, âge, lieu de naissance des parents, travail.(1’55”) Ses parents étant de deux villages différents, il notait la différence entre leurs basques respectifs.
I-017 B03 grammaire: lexique Avance-toi, envoyer, devant, derrière. On se moque d’eux parce qu’ils parlent un basque différent.
I-021 A01 L’homme fut berger.La femme d’Alkotz travailla dans une maison de Burutain après avoir fini l’école, s’occupant des enfants et faisant les tâches domestiques.Il y en a aussi quelques autres de Beramendi et Eratsun.(03.08”) Les différences de basque d’un endroit à l’autre.
I-030 A01 Les différents euskaras des environs.
I-032 A08 Les euskaras du Baztan et d’Ultzama sont différents.
I-033a A01 Les différents euskaras des villages environnants; Les plus différents sont ceux d’Arrarats, Beruete et Igoa.
I-033a B01 Ressemblances entre les euskaras des environs.Le village le plus bascophone actuellement est Eltzaburu.
I-038 A03 Les différents euskaras du secteur.
I-079a A03 Il ne comprend pas bien les biscayens. Les hommes qui se trouvaient là durant la guerre disent qu’ils ne comprenaient rien à ce que disaient les femmes. C’est généralement de la paresse, quand on fait l’effort de comprendre, on comprend.
SH-003 A20 L’euskara d’Uharte et d’Iraneta étaient différents, quelques exemples.
I-078b B3 A Arrarats tous parlent un euskara semblable. A Igoa et Beruete il est différent. Du côté d’Erbiti aussi ils parlent différemment.
N-033 A02 On remarque une différence entre l’euskara d’Etxaleku et celui d’Amaiur (grand-mère et grand-père). Le grand-père a vécu durant de nombreuses années à Etxaleku et il a perdu beaucoup, mais on se rend compte qu’il est de l’extérieur. Il a perdu la forme “erran” (dire) et a pris le son fort de la “j”. Mais il dit toujours “bertze” (autre), “amaina” (amarena : de la mère).
I-073a A07 anecdote Un jour où ils mangeaient à Durango, le serveur leur disait “itxoin” (attendez) et eux ne le comprenaient pas. Ils comprennent plus aisément l’euskara du Gipuzkoa que celui de Biscaye.
IC-016a A04
IC-012 A06
IC-012 A07 euskara: disparition - euskara:
IC-006a A05
IC-005a A04 Parler en euskara avec des Biscayens est difficile, ils ne peuvent pas comprendre leur euskara. Les Biscayens non plus ne peuvent pas les comprendre. L’euskara a ceci qu’il change en fonction des endroits, et parfois on ne peut pas se comprendre. Il n’en est pas de même avec le castillan, on le comprend facilement partout. Pour apprendre l’euskara il faut le parler. Celui qui ne l’a pas dans le sang et dans le cœur ne l’assimilera pas.
IC-017a A02 (Locuteur différent, homme). L’euskara des Biscayens est difficile. Son grand-père et deux oncles travaillaient en Biscaye.
IC-014b A01 Avant la guerre, dans toutes les fermes de Abaurrepea on parlait en euskara, mais pas les jeunes, peut-être comprenaient-ils. Ils ne voulaient pas parler, cela ne leur plaisait pas. Quelques filles apprirent parce qu’elles partirent servir à Luzaide/Valcarlos et en France. En revanche, celles qui partirent servir à Abaurregaina n’apprenaient pas, là-bas l’instituteur ou le curé ne les laissaient pas parler en euskara. Avant la guerre, les carabiniers leur demandaient méchamment de parler en espagnol. A Abaurrepea et à Garaioa il n’y a jamais eu de militaires. A Abaurrepea il y a seulement un bascophone, mais les vieux comprennent. A Salazar aussi il y a eu des bascophones, ils parlaient différemment. Ils venaient aussi de Mezkiritz. L’euskara de Mezkiritz ressemble plus à celui de Aezkoa qu’à celui de Salazar. A Salazar ils ont un autre “denge” (manière particulière).
N-049 A02 Après s’être mariée, elle partit en Argentine parce que son mari avait un frère là-bas et elle aussi souhaitait quelque chose de plus. Elle ne regrette pas d’être partie parce qu’elle a connu beaucoup de gens différents et parce que ce fut une très belle expérience. Au Centre Basque de Buenos Aires, ils retrouvaient des personnes qui parlaient l’euskara et chacun s’exprimait dans son dialecte, avec son accent, mais ils se comprenaient bien. Les gens qui sont partis d’ici pour aller en Argentine étaient des gens très travailleurs et honorables, qui voulaient aller de l’avant. Quand elle partit en Argentine, la situation économique ici était mauvaise, et là-bas plutôt bonne. Mais ensuite, les choses s’inversèrent. La situation de l’Argentine ne cessait d’empirer et celle d’ici en revanche allait en s’améliorant. Le gouvernement de Peron au lieu d’aider les gens à travailler ou à étudier, distribua de l’argent et des machines à des gens qui ne savaient pas les utiliser, et les fit venir à Buenos Aires. Cela provoqua la dépendance du gouvernement, qui voulait des voix, et la banqueroute du pays.
SM-012a A01 Elle a appris l’euskara avec sa mère et sa grand-mère. Son père était de Garaioa et il leur parlait toujours en castillan. Elle n’est pas sûre de pouvoir soutenir la conversation en euskara. Ils sont charpentiers. Ils vécurent plusieurs années à Aoiz et ensuite s’en allèrent à Erro. Quand elle était petite, les enfants d’Abaurrepea parlaient en euskara. L’euskara d’Aezkoa est clair, à Jaurrieta en revanche il est différent, ils utilisent la forme “xuketa”. Maintenant, ce n’est plus comme avant, là aussi l’euskara s’est perdu.