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contrebande [46 resultados]

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D-001 A07 anecdote Ce qui leur arriva un jour où ils se livraient à la contrebande.
D-001 A08 anecdote Une fois, alors qu’ils avançaient avec les paquets, on leur tira dessus et ils détachèrent les paquets pour s’enfuir en courant.
D-003 A12 Après son retour du service militaire, l’homme s’occupa de la maison. La contrebande se pratiquait à la frontière d’Oiartzun.
D-035 A05 anecdote - Guerre civile - moulin - faim Anecdote datant de l’époque où ils faisaient de la contrebande. Objets passés en contrebande. Eux aussi souffrirent de la faim car les derniers moulins furent fermés. Il partit comme soldat à l’âge de 20 ans.
D-039 A04 La contrebande était pratiquée d’Urepel à la venta d’Ultzama.
I-028 B02 Ils évoquent plusieurs personnes: “moro Juan” le maquignon. Dans le secteur il y avait beaucoup de contrebande. A Alkotz encore davantage, car il y avait des maquignons. Ils arrivaient à Ultzama par Belate.
I-034 B07 anecdote Il dut aller à la caserne pendant quinze jours. Il prétend qu’il n’avait rien fait mais que eux voulaient qu’il avoue. Ils étaient impliqués dans la contrebande.
I-095b B07 Ils n’avaient pas beaucoup de problèmes avec les carabiniers. Il n’y avait pas beaucoup de contrebande. Les chevaux et les juments passaient.
A04 Guerre Durant la guerre, ils travaillaient aussi de nuit. Il y avait plus de travail parce que ceux d’Orbaitzeta aussi allaient là. La nuit ils faisaient aussi un peu de contrebande.
IR-011a A10 Personne ne vivait seulement de la contrebande, c’était en complément du travail de chacun. Avant le début de la guerre, on transportait de la farine, du maïs, des boissons alcoolisées, de l’huile. Mais à mesure que la guerre avançait, ici il n’y avait plus rien et on portait de là-bas farine, sucre, café, huile.
IR-016 A07 Comme ils étaient pauvres, ils faisaient de la contrebande. Ensuite ils s’aidaient mutuellement et ils le faisaient par lots, de manière à gagner davantage. Personne ne s’est enrichi avec cela, mais en revanche il arrivait souvent que cela se passe mal. S’ils compromettaient les chefs des gardes il n’y avait pas de problème, mais ils n’étaient pas tous corrompus.
IR-022b B10 anecdote Alors que lui et son frère emmenaient des mules de contrebande en France, l’une d’elles leur échappa. Le brouillard fit son apparition et ils se perdirent. Finalement ils trouvèrent les autres qui s’étaient aussi perdus et ils firent l’échange. Ce qui se passa au retour.
IR-022b B07 village: Pampelune - métiers: marchands Plus tard, ils allaient à Pampelune tous les samedis voir des jolies filles. Au café Iruña tous ceux des villages se retrouvaient et là on faisait un peu de contrebande et beaucoup d’affaires avec les maquignons. Toujours désireux qu’arrive le samedi. Ils étaient tous basques de la partie montagneuse de la Navarre.
IR-022b B09 Maintenant à Abaurrea Alta on ne fait pas de contrebande, mais avant on en faisait. Ils passaient aussi des poneys. Avant la guerre, on amenait des mulets de France parce qu’ils étaient plus grands que ceux d’ici. D’ici on emmenait des vieux mulets qui ne valaient plus pour le travail, pour que là bas ils les transforment en viande.
N-023 A03 A l’époque de sa jeunesse ils ne faisaient rien d’autre que de la contrebande. Café, quelques bicyclettes, cuir, ferraille et objets de valeur. On gagnait davantage ainsi que de toute autre manière. Finalement cela allait jusqu’au fils du sergent.
N-023 A04 anecdote Ils ne l’attrapèrent jamais, mais il lui arriva de tomber et de se casser la clavicule. Il y avait souvent des coups de fusil et ils tuèrent deux hommes.
N-023 A05 Aujourd’hui aussi cela se fait mais pas comme autrefois. Autrefois, quoi qu’il arrive, on leur payait au même prix ce qu’ils passaient. A l’époque des amandes, ils passaient des sacs qui pouvaient peser jusqu’à cinquante kilos. Ils ne passèrent pas beaucoup d’objets de valeur sur le dos, mais ils passèrent bien quelque montre.
SM-007b B10 La contrebande est un travail de nuit. Ils récupéraient la marchandise sur le chemin des mules d’Urepel ou à la frontière d’Espinal et ils la laissaient à San Pablo. Là un autre groupe la récupérait et l’emmenait à Aoiz. Ils passaient des chevaux et des juments et des paquets.
SM-007b B11 anecdote Une fois ils les virent et les arrêtèrent. Ils jetèrent les paquets mais ils ne les attrapèrent pas. Certains réussirent à sauver les paquets.
SM-007b B12 anecdote Ce qui arriva au père d’une femme qui faisait de la contrebande, un jour où ils lui tirèrent dessus. Ce sont des moments difficiles.
SM-007b B13 Dans ces paquets ils passaient du nylon. Cette fois là ils en perdirent douze et les gardes les attrapèrent. Les paquets allaient à Barcelone. Ils passaient des paquets de cinquante mille pesetas. Une fois ils tuèrent un cousin à lui.
SM-011 A30 Avec la contrebande ils apportaient du café, du nylon et des chevaux. Anecdote : le jour où ils passèrent cinquante mulets.
SM-011 A32 anecdote Ils venaient de nuit avec les lumières éteintes pour que les carabiniers ne les voient pas. Quelqu’un allait au devant pour prévoir la situation. Ils utilisaient le cri du hibou comme signal.Ils avaient pour habitude de cacher la contrebande dans une maison et le contrebandier dans une autre. Ainsi ils ne trouvaient jamais rien. Ils avaient besoin du papier du secrétaire et quand le secrétaire arrivait à la maison, le messager était arrivé à la maison où se trouvait la marchandise et ils la changeaient d’endroit.
I-033b A1 Localisation des villages autour de la frontière et les terres sont tellement en pente qu’il est très difficile de les travailler. C’est pourquoi la plupart des habitants se mettent à faire de la contrebande.
I-007 B10 On obtenait du café par la contrebande, ils l’amenaient de France.
I-039 B08 divers De là à Burlata, à pied, il faut compter trois heures par la montagne. Avant, là-bas, on pratiquait beaucoup la contrebande.
SM-006a A03 Il est souvent passé au Pays basque nord, en faisant de la contrebande. Normalement, ils ne savaient pas ce qu´ils transportaient, il s´agissait le plus souvent de paquets de vingt cinq kilos environ. Ils étaient payés dix pesetes par nuit. Ils prenaient la marchandise aux Aldudes et l´emportaient à Mezkiritz. Cela leur prenait trois ou quatre heures, car ils n´empruntaient pas les chemins.
I-089 A04 anecdote Quand ils circulaient dans la montagne avec les paquets, il leur arrivait aussi d´avoir mauvais temps. Il circula plus avec le bétail qu´avec les paquets. L´histoire d´un homme : il ne réussit pas avec la marchandise, il s´exila, il se fit guide. Un garde civil commença à se disputer avec un homme de Ziaurriz, celui-ci lui enleva le fusil et le garde civil commença à pleurer. Alors que des chevaux de l´armée étaient en train de passer, en provenance d´Urepel, ils se perdirent et ils commencèrent à leur tirer dessus depuis une maison. C´est cela même qui donna l´alerte et ils commencèrent à leur tirer dessus dans une pinède. Tout cela pour deux duros. Il y avait de nombreux gardes civils, mais ceux-là aussi se vendaient. D´autres fois, les gardes leur enlevaient la marchandise et quand ils dormaient, ils y allaient en catimini et la récupéraient. Ils passaient du nylon, de la dentelle et du café. Il y a toujours eu des espions pour contrôler les gardes. Anecdote à propos d´un chien espion.
II-111a A08 Guerre carliste Ils vivaient de l´agriculture et de l´élevage. Ensuite commença le commerce et cela donna beaucoup de vie à la frontière. Ils instaurèrent la frontière en 1530. Et comme ils le firent sans consultation, les gens de là-bas agirent ainsi, avec la contrebande, continuant les transactions qui se faisaient jusqu´alors. Ils allaient acheter là où c´était le moins cher. Après la guerre, on passait surtout deFrance en Espagne. On passait de tout : espadrilles, tissus, chocolat, sucre, farine… L´époque des guerres carlistes. Le traitement qu´on leur réservait. Eux n´ont pas souffert de cela. Ils ne durent pas quitter le village. Pour eux, la contrebande a été avantageuse. Altercations avec les carabiniers. Anecdote. A présent, il n´y a plus autant de mouvement. Aujourd´hui on passe de la drogue. Au lieu d´arrêter les gens du coin, ils arrêtent les étrangers.
II-033b A07 anecdote Ils passaient aussi de la laine en contrebande. Eux ne faisaient pas de contrebande, il y avait des hommes précis pour cela. Eux prenaient du pain.
II-047a A01 Présentation : de nombreux paysans achetaient eux-mêmes le bétail et le passaient ensuite de l´autre côté de la frontière pour le vendre. (03:00") Comment il se lança dans la contrebande : il travaillait dans une maison et il commença, avec son patron, à vendre des oeufs au noir. Pour aller à Luzaide, il leur fallait deux heures, le panier sur le dos. Ensuite, ils commencèrent la contrebande de chevaux. Tout jeune, il savait comment faire passer les chevaux. Il achetait toujours les chevaux à Saint-Palais et les vendait au Pays basque sud. Ils faisaient toujours la route de nuit. Jusqu´à Saint-Jean-Pied-de-Port, il n´y avait pas de risques. Cela pouvait être n´importe quelle sorte de cheval. Chaque fois ils en passaient sept ou huit et ils le faisaient une fois ou deux fois par semaine. (15:00") Un jour, on le dénonça. Alors qu´il se trouvait dans une bergerie, on lui envoya le douanier. Ce qui arriva alors. (19:25") Les "indicateurs" étaient souvent payés. Ils avaient des signaux particuliers. La couleur et les étoiles des chevaux. Dans la montagne il y avait du mouvement mais ils ne les confondaient pas. Parvenus à la frontière, les affaires ne se passaient pas toujours de la même façon. Il arrivait qu´il faille faire demi-tour et vendre les chevaux à Saint-Jean-Pied-de-Port. (25:15") A ce moment là, avec la peseta, on gagnait de l´argent. Ceux qui furent pris en perdirent, mais pour celui qui avait sa place, même si cela était risqué, cela valait la peine. Celui qui travaillait dans ce domaine était rémunéré à hauteur du risque qu´il prenait. Il fallait un assistant pour passer les chevaux, un compagnon qui prépare la route. Une anecdote qui lui est arrivée. (31:50") Outre le fait d´être jeune, il fallait de la volonté et ne pas avoir peur, car il pouvait arriver qu´il n´y eut pas même une étoile. Il savait qu´un jour ils l´attraperaient et quand le jour arriva, il s´enfuit en Amérique. Il faut connaître le bétail pour faire ce travail. La contrebande se pratiqua surtout pendant la guerre. Ensuite elle alla en disparaissant ou du moins en diminuant. Quand ils partaient avec les chevaux, ils faisaient le retour à vide. L´affaire ne se terminait pas à ce moment là puisqu´ils étaient payés dans les jours qui suivaient. Cela leur était égal d´être payés en pesetas ou en francs. La peseta ne se changeait pas dans les banques, là aussi il s´agissait d´une autre forme de contrebande. A son époque, en plus de la contrebande de chevaux, il y avait aussi de la contrebande de beaucoup d´autres marchandises. Dans ce métier aussi certains ont perdu la vie, et nombreux ont été ceux qui ont connu de grandes frayeurs et qui se sont trouvés en réel danger. (47:00") Aurevoir.
II-052a A01 marchandise Présentation. (01:30") Il connut la contrebande tout petit. Ils passaient beaucoup de mulets, de vieilles vaches, de brebis, de paquets… par sa bergerie. Dans les paquets il y avait des bouteilles, du tabac, des boutons… Du côté de sa mère, tous étaient contrebandiers. Les mulets arrivaient d´Hasparren et ensuite ils passaient "en cordée". La contrebande de mulets. Il commença à travailler comme domestique à dix-sept ans. Avant cela, il faisait la contrebande avec des juments. Les hommes de peine de la contrebande étaient agriculteurs. Les pièces de camions étaient emmenées en Gipuzkoa, à Bilbao et à Pampelune. On passait aussi beaucoup de cuivre. Il y avait beaucoup de contrebande en provenance de Suisse. Les carabiniers se vendaient très facilement. Les gardes, pas autant. On passait aussi des gens et des juifs. Quand les Allemands et les Américains étaient là, ils utilisaient des lettres faites par des colonels basques, disant qu´ils étaient bergers. Les Allemands tuèrent quelques contrebandiers, mais eux, les jeunes, n´avaient pas peur.
II-052a A02 juifs (19:43") Il n´a jamais connu d´espion. Ils cachaient les familles juives dans les cabanes des vignobles. Elles restaient là une journée. Il ne sait pas comment elles arrivaient jusque là. De l´autre côté de la frontière, beaucoup allaient à pied du côté d´Elizondo. Là ils étaient libres. Quand ils étaient jeunes, il y avait des indicateurs. Beaucoup de Basques tombèrent ainsi. Le passage des juifs se fit de 1942 à 1944, jusqu´au départ des Allemands;
II-052a A03 nylon (27:35") Après la guerre, il y avait aussi de la contrebande d´animaux et de marchandises. Ceux de Sare et des Aldudes préparaient cela avec les Espagnols, et on passait ainsi beaucoup de nylon à Gasteiz-Vitoria, Bilbao, Pampelune, Zaragoza et Barcelone. On le faisait venir sans problème du Luxembourg et ensuite on en passait beaucoup vers Elizondo par camions et voitures. Cela se termina en 1982, après avoir duré dix ans. On passait aussi beaucoup de cuivre. Il était déchargé dans les monastères.
II-052a A04 portugais Les Portugais ne gagnaient pas d´argent dans leur pays. En France, cependant, ils étaient libres et tous avaient des contrats pour travailler. Comment ils sortaient du Portugal et passaient la frontière. Certains passaient en croyant qu´il y avait du travail et ensuite, ils ne pouvaient pas en trouver. Une fois que l´homme commençait à travailler, toute la famille le rejoignait. Il y a toujours eu des Portugais qui passaient, mais en 1963 et 1964 il y en eut plus que jamais.
II-052a A05 De nombreuses fermes ont été sauvées par la contrebande. L´agriculture ne donnait pa suffisamment. Sare, Baigorri, les Aldudes… ont survécu grâce à la contrebande. La contrebande a beaucoup changé. Aujourd´hui, il y a beaucoup de saletés, de drogue et d´argent. Il ne ferait jamais de la contrebande de drogue, même s´il a eu des offres. (46:10") Aurevoir.
N-020 A03 D´autres se consacraient à la contrebande. Ce qui arrivait le plus de France était la dentelle. Nylon, bobines, fil, angora, laine… Les paquets pesaient 30 à 40 kilos. Cela se faisait presque toujours de nuit et sans allumer la moindre lumière, car on pouvait être vu de très loin. Au début ils faisaient des chemins très longs. Ensuite, ils les divisèrent et les répartirent. Le plus gros était envoyé à Barcelone. A trois reprises les Gardes Civils le surprirent et comme ils perdaient les paquets, ils devaient se passer de la paye de la nuit. Les Gardes faisaient en sorte de ne pas tirer, pour que les autres ne sachent pas qu´ils étaient là. Dans les endroits dangereux ils allaient un par un, dans ceux qui étaient moins risqués, deux par deux.
D-072 A01 anecdote Ils faisaient de la contrebande dans la zone de la Bidassoa. Anecdotes. Pour traverser la rivière Bidassoa, ils enlevaient leurs vêtements et se les attachaient au cou.
SM-006a A03 Il est passé de nombreuses fois au Pays basque nord, en contrebande. Normalement , ils ne savaient pas ce qu´ils transportaient, il s´agissait le plus souvent de paquets de vingt-cinq kilos. On les payait environ dix pesetas la nuit. Ils les prenaient aux Aldudes et les emmenaient à Mezkiritz. Il leur fallait trois ou quatre heures, car ils ne passaient pas par le chemin.
II-119b A01 Sanfermines - métiers: marchands - foires: foire de chevaux Présentation : La foire aux chevaux avait lieu pendant les fêtes de la San Fermin. (02:30") Son amour pour les chevaux remonte à l´enfance, car il a été élevé au milieu d´eux. Le dimanche, ils allaient à la messe en attelage à cheval. Son père mourut quand il avait dix-huit mois mais à la maison, tout le monde aimait les chevaux. A l´époque, les chevaux ne montaient pas en montagne, ils les gardaient à la maison parce qu´ils en avaient besoin pour le travail. Il se rendit pour la première fois à la foire de Pampelune en 1950. Depuis, il y est allé souvent. Les marchands andalous y allaient pour vendre de vieux chevaux et en acheter des jeunes. Ils s´y rendaient avec toute la famille, en caravanes. La foire commençait le sept juillet et durait trois ou quatre jours. Il y avait aussi des chevaux de la région mais tous étaient amenés en contrebande, car on ne passait pas la frontière librement. Ceux du sud les réceptionnaient et traitaient avec les Andalous. Ces gens là étaient différents, on disait qu´ils ressemblaient à des gitans, mais ils avaient de l´argent pour acheter des chevaux. Beaucoup de chevaux venaient aussi du Baztan. A propos de la contrebande. (10:55") Les façons de traiter étaient très différentes. Il y avait des gens venus de régions chaudes et leur mode de vie était très différent. Il n´a pas appris à traiter, il allait seulement les voir. Il n´était pas facile de trouver un endroit pour dormir, mais ils parvenaient toujours à trouver une grange ou autre. (12:50") A l´époque, les chevaux étaient seulement pour le travail. Quelqu´un envoyait ceux du sud acheter une quinzaine ou une vingtaine de chevaux, car il n´y avait pas de tracteurs à ce moment là en Espagne. C´est pourquoi il y avait tant et tant de chevaux rassemblés à Pampelune. A présent la foire est bien différente.
II-119b A03 animaux: chevaux Ils envoyaient beaucoup de vieux chevaux en France pour la boucherie. Les jeunes chevaux étaient passés du Pays basque nord au Pays basque sud, et les vieux chevaux du sud au nord. Tout cela se faisait grâce à la contrebande. On passait aussi des vaches et d´autres choses. Après la guerre, il n´y avait rien en Espagne et on mangeait même les animaux malades. Plus tard, on mangea moins de viande de cheval parce qu´on lui avait fait une mauvaise publicité.
IR-019 A04
IC-014a A11 Dans tous les villages d’Aezkoa il y a eu plus ou moins de contrebande, mais ils ne croient pas que cela se fasse encore aujourd’hui.
N-018a A01 INACHEVE. Il a beaucoup pratiqué la contrebande. Ils prenaient les paquets du côté français et après avoir marché toute la nuit, ils arrivaient. Plus d’une fois ils leur ont tiré dessus et ils dûrent courir vite pour s’enfuir. Dans ces cas là, ils essayaient de cacher les paquets, mais quelquefois, les gardes leur confisquaient.
II-176b A06 Quand il était jeune, avant d’aller en Amérique, il faisait de la contrebande de chevaux et de mulets. On faisait de la contrebande de n’importe quoi. Généralement ils passaient par Irisarri et Esnazu. Le parcours. Quand les gardes les découvraient, ils s’échappaient en courant en abandonnant la charge, et ils perdaient alors le salaire. On les payait 5000 francs par nuit, et celui qui travaillait comme ouvrier de ferme touchait 2000 francs par mois.
II-162b B14