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D-001 A13 échanges Lesaka a beaucoup changé. Les femmes portaient le panier sur la tête, les gens conversaient dans la rue, ils ne se disputaient pas, il y avait davantage de solidarité.
D-025 A06 village: Berroeta, situation Les gens abandonnaient le village mais à présent il y a à nouveau des jeunes couples. Il parle de la situation et de la tranquillité du village. Aurevoir.
EE-003a A01 route: neuve Ils ont ouvert le tronçon de route qui passe en dehors du village d’Olague et plus personne ne passe par le village. La première voiture qui est passée par la nouvelle route.
I-001 A10 Les villages de Basaburua Mayor et Basaburua Menor.
I-001 A20 Connaît-il des contes que racontaient ses parents…
I-001 A09 métiers: maire Son père fut maire du village et de la vallée. Il circulait à dos de jument quand il devait se rendre aux réunions à Jauntsarats.
I-001 B11 Maria parle avec une autre femme de certaines personnes. Elles parlent de ce que sont devenues des personnes qu’elles connaissaient et de leur santé.
I-001 B13 Elles parlent à nouveau d’autres gens. Un homme se mêle un moment à la conversation. Il se rendit à un endroit et il fit mauvais toute la semaine. Ils évoquent d’autres personnes.
I-001 B14 On est bien quand on est jeune et on devrait rester ainsi. Les bals d’une époque. Plus de cinquante personnes dansaient. A cette époque, on croyait qu’ils ne fallait pas sortir de la maison.
I-001 B15 plaisanterie - religion: foi Maria parle avec l’homme du proverbe "Dieu étreint mais n’étouffe pas". Dieu aide ?
I-001 B16 plaisanterie Maria et l’homme se disputent à propos de fumer.
I-001 B02 noms et prenoms Sa mère naquit à Beruete. Les noms et prénoms de sa mère et sa famille.
I-001 B03 Quand ils étaient petits, les parents ne racontaient pas d’histoires. Et même si la mère en racontait, elle-même ne les racontera pas. L’âge du père de la personne qui réalise l’entretien, où se trouve sa mère…
I-002a A03 La famille d’une femme qui mourut. Deux femmes demeurèrent à Burlada.
I-002a A04 Alimentation: Répas Ont-ils rentré le foin ?(05.40”) Un homme qui fut hospitalisé, finalement il avait un cancer. Il n’a pas d’enfant. Ils racontent la dernière fois qu’il se trouva à la maison, il y a une dizaine d’années.
I-002a A05 A présent, ils parlent de la tante Juana. Elle devait venir pour les fêtes de la San Fermin et du temps elle disait qu’en hiver il fait froid et en été trop chaud. L’âge de ses enfants.
I-002a A07 Seigneur Santiago, celui qui fut son cinquième est mort cette année. Une de ses filles mourut d’un cancer en Amérique. A propos de sa famille. On faillit amputer Santiago des deux jambes, mais finalement ils ne lui en coupèrent qu’une.Saturnino fit de la contrebande, c’est lui qui travaillait et l’argent était pour Santiago. Ils étaient beaux-frères. Santiago avait une voiture, et celui qui avait une voiture à l’époque était un “monsieur”.Une fille de Santiago se maria avec un homme veuf. Avec ses revenus, il lui acheta sa fille.
I-002b B01 Seigneur Santiago disait que sa maison serait pour une de ses soeurs. Qu’il avait de l’argent et qu’il irait dans une résidence.
I-002b B03 A propos de Maria qui prétend qu’elle veut aller dans une résidence et quand arrive le moment, qui ne veut plus.
I-002b B05 grotte Ils ont parlé à la télévision d’une grotte qui se trouve dans les environs. Ils l’ont paraît-il agrandie, les sottises qu’ils font.
I-002b B06 Julia, celle de Trampa vit à Auza. Un de ses fils et une de ses filles se sont mariés.
I-002b B07 Ils prennent le fromage et du vin et il y a quelques phrases à ce propos. Quelque chose au sujet d’une noce.
I-002b B08 Comment elle trouva Martine quand elle alla lui rendre visite à la résidence. Elle resta moins de temps qu’elle n’espérait. Elles ont le même âge, quatre-vingt deux ans.Autrefois, elle ne disait jamais son âge, elle avait toujours trente ans.martina lui raconta que Miguel avait fait pour ses petits-enfants.
I-013 A02 Autre enregistrement réalisé à Beruete. A propos de famille et de leurs maisons.
I-013 A03 A dix ans, il s’en fut vivre à Alkotz avec des oncles et ensuite il vécut à Lizaso. A propos d’une femme d’Alkotz, qui n’a pas appris le basque à ses enfants.
I-017 A02 Ils parlent de gens qu’ils connaissent tous. Ils font les présentations et lui disent dans quels secteurs travaillent leurs enfants. Ils entrent voir une maison qu’ils sont en train de restaurer. Ils voient le four, les escaliers, la cuisine, les chambres…
I-017 A03 Ils parlent d’un homme qui était domestique. Ils lui montrent sa maison: ils ont beaucoup de place, des meubles. Comment ils l’arrangèrent.
I-017 A05 maison Le fils de l’une d’elles s’est fait une maison à Iraizotz, à mi-chemin de son lieu de travail et de celui de sa femme.
I-017 A06 Ils lui disent d’aller leur rendre visite. Sa fille qui est enseignante voyage beaucoup. Elle travaille à l’ikastola d’Alsasua.
I-018 B01 Présentation muette. Ils ont toujours travaillé, ils n’ont pas étudié. Age. Une d’elles demeura avec le curé (Emilio Goldarazena) durant de nombreuses années. La plus jeune sort, l’autre non, en principe. Elle regarde la messe à la télévision et le curé vient à la maison lui donner la communion.
I-018 B04 euskara - famille: petits-enfants Ils parlent de leurs petits-enfants. A la maison tous parlent l’euskara. A l’heure actuelle les jeunes sont différents. Elles n’allèrent pas à l’école mais elles savent lire.
I-018 B06 Josu le petit-fils entre et ils parlent de lui avec lui. Il va à l’école d’Aranatz et parle très bien l’euskara. Il a huit ans et ses parents sont bascophones tous les deux.
I-018 A01 anecdote - accident Le petit-fils parle des femmes, il dit qu’elles sont très travailleuses.Les vaches.L’accident qui arriva à un autre.
I-020 A01 Ils parlent de personnes qu’ils connaissaient à l’époque où les enfants d’Engracia allaient à l’école, et qu’Orreaga connaît peut-être.
I-020 A07 religion: curés Ils parlent du curé de là-bas. C’est le même pour plusieurs villages.Le cloître du village.
I-021 A02 Ils évoquent la maison et Gerendiain : s’ils s’y sentent bien, si le village leur plaît. Les années passées là-bas.
I-021 B07 Elles n’ont jamais travaillé avec la quenouille. Cependant, certaines savent faire le fromage. Elles expliquent comment le fabriquer et le mot "gatzagia" (présure). Explication du mot "tripota". On le fait avec des tripes de brebis et elles expliquent comment le faire.
I-028 A07 A l’heure actuelle, c’est très différent. Il y a aussi des gens qui vont mal, mais il n’y a pas autant de problèmes pour manger. Le problème des appartements.Pourquoi ils ne se marièrent pas. Les mariés ne faisaient que travailler et ils n’avaient que de la misère. Eux sont célibataires et ils vivent bien.
I-028 B03 Les sept villages de la vallée de Anue. Les habitants de la vallée se réunissaient toujours à Olague. A dix-sept ans il se mit dans les "garçons". Le troisième et le quatrième jour ils allaient chercher des poulets et c’est une fille qui lui donnait. Ce sont eux qui payaient la musique.
I-028 B04 argent A Ultzama il y a toujours eu beaucoup d’argent et de très grandes maisons. A l’époque il n’y avait pas autant d’argent qu’aujourd’hui. Ceux d’Ostiz ont toujours eu une réputation de goujats.
I-029 A04 temps Ils discutent du temps avec une femme qui vient d’arriver. Comment ils disent: pluie.
I-029 A08 village: réputation Ceux de Ripa étaient surnommés “kokoak”. Ceux de Beruete et de Basaburua avaient la réputation d’être des brutes.
I-029 B02 Le nettoyage est l’affaire des femmes. La nuit de Noël on tuait le cochon et les voisins venaient aider, puis partager le repas.
I-030 B02 Ils évoquent la résidence et la musique du moment. Rénovation de la résidence.
I-030 B03 Sanfermines Ils allaient aux fêtes de la San Fermin.
I-030 B05 foyer du vieillards Ils parlent d’une femme. La promenade qu’ils font. Le dîner et ce qui suit dans la résidence. Le temps qu’ils ont passé dans la résidence. Comment il a connu l’oncle d’Orreaga.La vieillesse dans la résidence et la façon dont on s’occupe d’eux.
I-030 B06 Leurs noms et âges.
I-031 A04 chanson Autres chansons: en jouant à la corde (en castillan).
I-031 B07 Les mots dont ils doivent se souvenir. Quelques dictons et coutumes.
I-032 A10 plantes Ils parlent d’une plante. On la prenait au printemps pour fluidifier le sang. Maintenant il n’y en a plus.
I-032 A12 Il est placé contre les maisons et les bergeries, en guise d’abri. “Kurtxinberoa”
I-032 A02 Ils parlent d’un homme de Beruete. Les relations qu’ils avaient avec les gens de Beruete.
I-033a B10 Ils évoquent une fille qui fut institutrice.
I-033a B05 Le Gouvernement de Navarre leur envoie des cadeaux.La meilleure accordéoniste d’Espagne se rend à la résidence.
I-034 A04 grammaire: lexique Dans quels endroits ils utilisent "gibela" et "aitzina" ou "atze" et "aurre" pour dire: derrière et devant.
I-034 B02 fêtes: fête des retraités A Alkotz fut organisée une fête des retraités. Messe, repas et bal.
I-035 A07 Le mardi de la Semaine Sainte, l’an passé, ils cambriolèrent sa maison. Et cette année, le même jour, on dut l’emmener à l’hôpital pour une hémorragie.
I-037 B11 religion: curés Autrefois, il fallait donner des présents aux curés, aux instituteurs et aux médecins. Ceux qui donnaient étaient les propriétaires, pas les locataires.
I-037 B13 abattage du cochon On tue le cochon dans deux maisons seulement. A présent, on tue les veaux.
I-037 B08 grammaire: lexique - animaux - agriculture: herbes Queue de cheval, "kurtxila"("kaskilak" (gousses de haricots), "nunu", coeur, "suge mahatsa"("suge aza"(?).Animaux sauvages, chasseurs, "pututxe"(belette, crapaud, "lutriak"(anguilles, brebis mérinos. Solives, piliers, moine, trous profonds.Vessie de porc, vessie humaine, luciole, se moucher, serviette, bécasse, étoupe.
I-038 A01 Ils s’habillaient en noir la veille de San Lazaro (Saint Lazare).
I-038 A11 grammaire: lexique Les différentes manières de dire “ciseaux” selon les endroits : là ils les appellent “piruxak”.
I-038 A07 La Vierge de Belate. Le temps de la Semaine Sainte.
I-038 B10 Ils parlent de gens dont ils disent s’ils savent ou non l’euskara.
I-038 B04 Ils parlent de la résidence et de la proportion d’hommes et de femmes.
I-044a A02 Il apprit l’euskara avec son grand-père.
I-057a A07 euskara Age: 77 ans.Il ne savait pas le castillan jusqu’au moment de commencer l’école. La mère était de là et le père de Berasain. Les deux soeurs aînées moururent jeunes. Le frère mourut à la guerre et aujourd’hui seuls restent Juanita sa soeur, et lui. Le grand-père était de Gascue et la grand-mère de Lizaso.
I-060b B07 Histoires concernant quelques personnes.
I-071 A07 Il a dix-neuf petits-enfants. Il ne va plus avec les animaux. Avant il avait quelques animaux et il travaillait comme paysan.
I-080 A04 enregistrements Les enregistrements réalisés et il demande qui il pourrait encore interroger.
I-080 A05 religion: curés Ils rendirent hommage au curé.
I-080 B02 euskara La situation de l’euskara à Ultzama : elle empire, seuls les personnes âgées le parlent. Peu à peu la langue disparaîtra.Une fois il alla à Bilbao dans la montagne et se trouva avec de nombreuses personnes qui parlaient des basques différents.Ils évoquent un homme qu’ils connaissent.
I-095a A02 Ils leur demandent quels sont les objectifs des chercheurs.
I-095a A05 Il travailla avec des gens du Baztan. Les fêtes avant la guerre. Ils ne se souviennent d’aucune chanson ou devinette.
I-095a A07 maison: noms Il doit y avoir une chanson en euskara et en castillan à jouer à la guitare.Il leur demande quelle réputation ont ceux d’Esparza.Ils commencent à dire, en castillan, comment était le village avant la guerre.L’homme dit qu’aujourd’hui on enseigne pas l’euskara local. Ils font allusion à un livre dans lequel on apprend le roncalais.Le jour précédent, ils ont discuté avec le frère du locuteur d’aujourd’hui. Ils leur expliquent ce qu’ils font avec leur travail et leur demandent leurs âges. Le nom de la maison est Maizterra.Aurevoir.
I-095b B10 Il leur demande quel est selon eux l’euskara le plus facile.
I-095b B12 Avant davantage de gens venaient de France voir leurs familles. Travailler en montagne à la carrière.
I-095b B18 Les bascophones du village et des villages environnants.
I-095b B09 A Garralda on leur raconta l’histoire de Joanes Iriarte et il leur demande s’il n’existe pas une histoire semblabe dans le village: ils lui disent un proverbe moitié en euskara, moitié en castillan.
A11 Il y a quelque chose qui ressemble à un moulin pour sortir les pierres.C’est le dernier moulin d’Irissarry. C’était un travail comme un autre, mais ils étaient connus dans le village, car la farine était quelque chose de fondamental.
A13 moulin à eau La mare a été vidée et le moulin arrêté. Il a ouvert le débit pour l’autre moulin. Ils avaient la maison sur place.Durant la guerre ils avaient des contrôles. Les autres moulins cessèrent de fonctionner il y a longtemps et le sien il y a quinze ans. Personne d’autre ne sait le faire fonctionner, il disparaîtra donc avec lui. Tous les moulins ferment les uns après les autres.Aurevoir et remerciements.
IR-008 A17 En fin de semaine il a dû y avoir un accident et un jeune homme est mort.
IR-008 A18 courses On a besoin de gens pour aider à faire les foins et personne ne sort. Demain commencent aussi les cours pour les femmes. Dernier appel. Si personne ne venait, on l’emmènerait à Ezcároz.
IR-008 A20 temps: beau temps Avec du beau temps tout est plus beau. Avec du beau temps commencent à sortir les aliments du jardin.
IR-008 A05 Appel pour se rendre au dîner qu’ils ont préparé pour les retraités à Garaioa. Hommage sera rendu aux plus âgés, et il y aura de la musique.
IR-008 A06 Réunion de la radio et appel à tous ceux qui souhaitent devenir membres.
IR-008 B10 jeu: des ca Ils commencent la conversation en parlant du temps. Il est très rare de voir un beau mois d’avril.(24.10") A propos du championnat de mus : Karmele participe. Le dimanche suivant ce sera à lui de jouer contre ceux d’Orbara. Ensuite les gagnants de chaque vallée devront jouer entre eux.
IR-008 B11 vers: courses Un cours d’improvisation a commencé pour les enfants. Aurevoir.
IR-008 B04 Joseba sort dimanche prochain. Aurevoir.
IR-008 B05 Joseba sortit et il paraît qu’il est en vacances.
IR-008 B07 jour: de la radio Ils parlent en forme d’introduction. La journée de la radio : ils allaient donner un cadeau à Regina, mais son fils dut le prendre car, une fois de plus, elle ne vint pas.
IR-008 B09 Dimanche l’Aberri Eguna a lieu à Pampelune. A Valcarlos il y a aussi une jolie fête l’après-midi. Les cours aussi commencent la semaine suivante. Joseba a du travail à Pampelune. Aurevoir.
IR-012 B05 Ils interrogent la petite-fille sur sa vie : où elle naquit et où elle réside, son travail, ses relations avec le Pays basque nord.
IR-013 A03 Honoria a vécu à Aribe, Abaurrea Alta, Pampelune et Burlada. Les meilleurs souvenirs sont ceux d’Aribe, quand elle s’occupait d’enfants. Sa maison était un endroit très particulier "lagun maitea" (cher ami), les portes étaient toujours ouvertes.
IR-013 B03 Elle est malade mais très bien soignée. Elle envoie tous ses voeux à ceux de la vallée.
IR-013 B04 Elle pose différentes questions aux enfants qui vont nager à propos de la natation et d’autres activités qu’ils font. Chanson "Maritxu nora zoaz" (19.55"-20.42")
IR-015 A05 Quand elle était jeune à Aria il y avait bal, mais les filles ne faisaient pas la bringue et n’allaient pas aux fêtes de villages. Dans la maison Goiburu de Garralda ils faisaient magasin et pension, et elle alla y travailler. C’est là qu’elle connut son mari.
IR-015 A06 Elle est contente que les retraités reçoivent de l’argent sans travailler, parce qu’ils travaillèrent suffisamment. Elle est contente de sa vie et d’être capable d’être autonome. Ils récitent le rosaire pour les défunts. Aurevoir et remerciements.
IR-016 B01 Même s’ils sortaient la nuit, le lendemain ils devaient aller travailler.
IR-016 B03 Dans les fêtes elle dansait aussi avec les autres. Avant il y avait davantage d’habitants dans le village. Les familles étaient plus importantes, elles comptaient jusqu’à dix-douze enfants.
IR-018 B02 mariage Il se maria à quarante ans. Ils voulaient attendre d’être riches, mais ils ne s’enrichirent jamais. Il continue à travailler parce qu’il se sent mieux. C’est lui qui s’occupe du jardin.
IR-018 B06 Il perdit ses parents tout petit. Ils étaient six frères.Garralda fut complètement brûlé en 1898. Jeune, il n’eut pas beaucoup de temps pour jouer ni pour les fêtes, parce qu’il devait travailler. Au retour du service militaire il eut l’occasion de faire la fête.
IR-021 A07 religion Il est content que ses petits-fils soient insoumis, pacifistes. Il est favorable à ce que le barrage d’Itoiz ne se fasse pas. Il pense que les jeunes d’aujourd’hui sont meilleurs qu’eux. Quand il était jeune ils avaient des querelles. La république arriva et chacun tira de son côté. Il espère dans les jeunes. Eux avaient foi dans la religion mais c’était surtout par peur. Il n’est pas facile d’accepter la jeunesse comme elle est à son âge. Aurevoir et remerciements.
IR-023a A01 mode de vie - Guerre Son nom et celui de la maison. Ils ont changé le repas du soir et la façon de danser. Ce qu’ils mangèrent ce soir là. Il débuta comme berger à six ans et ensuite travailla à Irati. Il travailla comme muletier avec six mulets transportant du charbon. Il fut trois ans à la guerre en Espagne, à Ceuta et Tetuán. Il fut aussi à Madrid. Il avait des taureaux et à la demande du gouvernement il alla à Madrid avec eux et y resta un an. Quand il rentra de la guerre, il se maria et se fit une maison et une bergerie. Il a été aussi à Paris.
IR-023f B07 Quand il était jeune, ils se divertissaient mieux que les jeunes d’aujourd’hui. Avec plus de gaîté, en sifflant, en chantant même quand ils travaillaient avec le bétail. Aurevoir et remerciements.
IR-024a A04 Quelqu’un va très souvent jouer aux échecs. Elle a appris à jouer toute seule, sans l’aide de quiconque ni d’aucun livre.
M-007 A01 Ceux de Valcarlos clôturent les terres de leur secteur pour que les éleveurs de Baïgorry ne passent pas. Ils se plaignent de l’usage abusif que font certains.
N-067 A03 Ses soeurs étudiaient et l’une d’elles alla en Angleterre et se maria là-bas. L’autre partit à New York. Elle avait peur de sortir et se maria avec un espagnol. Sa vie changea beaucoup. Elle a vécu plus de vingt ans à Espinal et maintenant elle est fixée là-bas comme si elle était née sur place.
N-067 A07 Elle aime aussi les lettres mais elle n’en écrit que pour sa fille. Sa passion, ce sont les livres.
N-067 B03 Elle préfère Arnéguy à Espinal, car c’est son lieu de naissance. Le marché du lundi de Saint-Jean-Pied-de-Port.
N-068 A05 Ils parlent de l’âge.
N-072 B01 anecdote Mode de vie, histoires de jeunesse : anecdote des fêtes de la San Fermin, ils allaient sans lanterne ni rien.
N-072 B02 Ils parlent de quelqu’un qu’ils connaissent tous.
PP-001 A01 Ils évoquent quelques autres personnes.
PP-009 A01 Anecdotes concernant d’autres gens.
SD-004b B04 maison: noms Ils parlent de connaissances communes. La nouvelle coutume de changer les noms des maisons. Age et santé.
SH-003 A01 Nom, âge, comment il vit, l’infarctus qu’il eut il y a quatre ans, etc. A propos d’autres personnes.
SM-007b B14 Il a travaillé aussi dans le bois, mais il n’a jamais fait d’arcs.
SM-011 A12 Localisation des terrains des villages de la vallée de Burunda. Différences entre les baraques des différents villages : toutes étaient semblables, au début médiocres, elles s’améliorèrent par la suite.
SR-009 B08 Un jour ils lui dirent de ne pas s’aventurer à aller ramasser les haricots le lendemain avec eux; et bien sûr elle y alla. Au retour, il n’y avait rien de prêt pour le repas, car les grands-parents n’avaient rien fait. Ils avaient le téléphone public à la maison. Après avoir fait le repas, mangé et ramassé la table, elle restait seule à récolter les pommes de terre. Anecdotes survenues avec la femme âgée de la maison.
X-006b A01 religion: Adoration nocturne Célébration du 50ème anniversaire de l’Adoration Nocturne d’Irurita.
X-006b A03 LŽabbé Policarpo - publications Publication des sermons du père Policarpo : "Hitz lauzko lanak" (en baztanais). Sa vie : études, travaux, voyages.
X-023a A01 village: Baztan-Zugarramurdi Il y a une discussion entre Baztan et Zugarramurdi sur l’appartenance de cinquante huit fermes et quelques terres communales. Le locuteur se sent de Zugarramurdi, c’est là qu’il est allé à l’école, mais il sait qu’il est de Baztan. Remerciements et aurevoir.
I-033b A5 Il travailla d’abord dans une boulangerie. Ensuite le magasin fut vendu à un homme de Donostia-San Sebastian qui installa une scierie. Le même propriétaire installa aussi un élevage de bétail.
I-010 A7 Autre maladie qu’ont eu de nombreuses vaches vendues dans la région de Leon.
I-008b B6 Elles parlent de certaines personnes qui vivent dans un appartement.
I-008b B3 Elles parlent de quelques personnes.
I-008a A8 Le médecin ordonna un régime à quelqu’un. Il paraît que cette personne aimait beaucoup le fromage
I-008a A9 Les obsèques de son cousin médecin. Il y avait énormément de monde, la police était même là pour l’organisation. Au moment de la communion, ils chantèrent en basque. Il mourut d’une crise cardiaque. Son frère aussi était mort de la même manière. Ils parlent de sa famille.
I-008a A6 Le garçon a trente six ans et Maria se moque de lui et lui dit que sa jeunesse est en train de lui échapper et qu’il terminera comme la plupart des gens. Ils évoquent d’autres personnes.
I-008a A1
I-007 B4 A présent elle préfère vivre en ville parce qu’au village il ne reste presque plus personne. Histoire d’une fille qui se marie.
I-007 B7 Ils ont rénové les rues mais elle n’aime pas le résultat. Elles sont plus propres mais maintenant il est très facile de glisser, on ne peut pas descendre avec des chaussures.
I-007 A7 Les jeunes qu’il y avait avant à Arrarats et autres histoires.
I-007 A9 L’institutrice était de Pampelune.
I-006 B5 Alors qu’ils commencent à fumer, ils passent à Maria, comme elle se trouve bien. Son avis sur Barcelone (où elle vit). Transport. Pour les personnes âgées tout est gratuit là-bas. Elle a quatre vingt trois ans, le huit décembre elle en aura quatre vingt quatre. Le médecin (une femme) lui dit qu’elle est comme une jeune fille. Autrefois ils ne savaient pas ce que c’était que de fumer. Qui fume dans sa famille. Ce que font ses petits-enfants, études et professions.
I-006 A3 Ils évoquent Jenovia Oskotz. Il l’enregistra et elle leur montra comment faire le fil, les couvre-lits et les fichus. Elle vit seule.
EE-005b B1 Son fils est prisonnier politique. Lui est d’Igoa mais il y a longtemps qu’il vit à Burlada. Il y a huit ans qu’il est en prison. Maintenant il est en grève de la faim, depuis dix-neuf jours. Dans quel était il se trouve. Il devrait y avoir davantage de soutien de l’extérieur. Manifestation. Pétition du père d’un prisonnier politique. Remerciements et aurevoir.
I-039 B07 Ils ont des vaches et ce sont les enfants qui les emmènent.
I-039 B08 contrebande De là à Burlata, à pied, il faut compter trois heures par la montagne. Avant, là-bas, on pratiquait beaucoup la contrebande.
EE-002b B1 Sorties en montagne : elles commencèrent il y a trois ou quatre ans. Au début, ils partaient seulement le dernier dimanche de la semaine culturelle de Basaburua. Plus tard, ils commencèrent à y aller plus souvent. Certaines excursions qu’ils ont faites réunissent des gens de Basaburua, Imotz, Bizkarreta-Gerendiain et Irurtzun, treize personnes. Le week-end prochain ils doivent aller à la neige skier. Ils iront à Arette. Tous ne savent pas skier. Lui commença à skier il y a treize ans. Il y a toujours plus de monde.Certains ont l’équipement mais d’autres le louent. Ils iront en voiture.
I-039 B03 Ils avaient des pommes de terre. Ensuite ils le vendirent au Gouvernement.
I-039 B04 A propos de gens qui vivent ou ne vivent pas à Ardaitz, Urniza, Gurbizar et Larraingoa, et des maisons de ces villages.
I-039 A02 Il fut soldat à Barcelone et bien que la ville soit belle, il ne vivrait pas là-bas. Il y resta trente quatre mois. Durant cette période, les autres accomplissaient les travaux de la maison. Il n’a pas appris l’euskara à ses enfants, mais il ne regrette pas.
I-039 A03 Ils allaient beaucoup à Ardaitz. Les noms des maisons d’Ardaitz. Seules huit personnes vivent encore là-bas. A Urniza, il n’y a plus personne. La maison d’Urniza n’était pas à lui, ils étaient locataires.
I-036 A14 euskara A propos de l’euskara des uns et des autres. Le curé aussi est bascophone, d’Iraizotz. Avant on travaillait plus que maintenant. Dans le village il n’y a pas d’enfants. A Egozkue, l’euskara s’est perdu. A Iragi on parle encore euskara.
I-036 A12 Son frère eut trois thromboses dans la tête, mais il est bien. Avec le curé aussi ils parlent en euskara.
I-036 A01 euskara Elle parle euskara à la maison, mais les enfants ne l’apprennent pas. Elle a des parents à Lintzoain et à Bizkarreta-Gerendiain et elle avait coutume d’aller là-bas pour les fêtes. Elle s’y rendit à pied plus d’une fois, même seule.
I-036 A02 Ils sont en train de restaurer l’église.
I-036 A04 Elle est célibataire et vit avec sa soeur et sa belle-soeur, la femme de son frère. Ils ont beaucoup de travail avec les vaches. Enclos.
I-036 A05 Ils parlent des maisons et des gens des alentours.
I-042 A01 Elle se présente ainsi que sa famille, ses parents, frères et soeurs. A la maison ils étaient nombreux et ils durent partir travailler. Elle fut servante durant neuf ans dans une maison à Aritzu et ensuite elle se maria à Burlata.
I-042 A07 Elle aimerait vivre dans le village étant donné que sa famille vit là-bas. L’année passée, ils se firent une maison. Chaque fois qu’ils ont des vacances ils vont au village.
EE-006c A08 A cette époque les gens bougeaient plus d’un village à l’autre. Ils se déplaçaient pour des parties de pelote, des fêtes, de la musique. Ils allaient à pied jusqu’à ce qu’apparaissent les bicyclettes. Ceux de Lantz ont la réputation de “sudur luze” (long nez).
EE-006c A04 Ils avaient souvent des altercations avec ceux d’Olague.
I-015 A06 foyer du vieillards A propos de la discipline de la résidence (maison de retraite) de Gerendiain : elle doit être assez stricte.
I-014 A08 A propos de certaines personnes.
I-014 A06 Ses enfants. Une de ses filles est professeur de musique.
I-026 B05 maladie Ils ne savent ni lire ni bien compter et certaines choses leur posent des difficultés. Mais cela ne signifie pas qu’ils n’aient pas une bonne tête. Une fois, il lui arriva de perdre la tête et de rester ainsi un an : après avoir eu sa dernière fille, elle resta alitée durant neuf mois et demi.
I-026 B03 anecdote - famille A propos de ses neveux. Ils aiment beaucoup le village. Quelques anecdotes sur la famille : poissonnerie, études et autres péripéties.
I-026 A04 médecine: intervention chirurgicale Une femme fut opérée de l’oeil. Aujourd’hui elle a été à nouveau chez le médecin à Hendaye.
I-026 A05 Dans le village seules deux maisons ont du bétail. Elle a six fils mais tous vivent à l’extérieur. En bas de sa maison se trouve l’école.
I-026 A01 Ils parlent de différentes personnes. Comment Orreaga est allée à Muskitz.
N-065 A05 ville Dans le village, c’est après la messe et le rosaire que l’on se rassemblait le plus. L’oncle célébrait la messe l’après-midi et ensuite ils restaient à discuter. Elle alla vivre à Irurtzun quand elle se maria. Les différences entre le village et Irurtzun. Ce qui changea dans sa vie une fois mariée.
I-016b A04 mariage A propos d’une noce qu’ils célébrèrent dans le village.
I-016b A02 Au sujet de Mezkiritz et Espinal.
I-011 B05 Le fils était en train de travailler et sa remorque s’est cassée. (L’homme va au rosaire).
I-011 B01 A propos d’autres gens.
I-011 B03 âge A propos d’une autre femme : elle n’a plus tout à fait sa tête. Age.
I-011 A09 Au sujet de la vie personnelle d’Orreaga. A propos des architectes. Maintenant les maçons ont plus d’argent que les architectes.
I-011 A03 A propos des garçons qui installèrent le bar.
I-011 A02 nom: Orreaga A propos du nom “Orreaga”.
I-012 A11 A propos de la maison et du village. Un cheval mourut de la peste équine.
I-012 A09 Ils parlent du curé. Sa famille et autres histoires. La famille Errandonea d’Itsaso. La femme colombienne.
I-012 A01 euskara Qui parle en euskara et avec qui. Au sujet d’une famille qui avait coutume de parler castillan à la maison.
II-001a A03 métiers: charbonnier En plus de travailler le charbon, il fit aussi du fauchage. Ensuite il recommença à travaille le charbon. Il fit une petite meule à charbon pour montrer aux enfants.
I-073a A08 enregistrements A propos des enregistrements qu’ils ont faits. Qui ils enregistrèrent à Ilarregi.
I-016a A01 A propos de l’euskara et des enregistrements.
I-024 A01 famille Il parle de ses fils. Deux vivent à Pampelune.
I-004 B12 ville - garçons/filles Il y avait deux autres filles de son âge dans le village. Elles partirent avant elle travailler à Leitza. Tous ceux du village, garçons et filles, se retrouvaient ensemble, c’est pourquoi les filles n’étaient pas amies intimes. Amies oui, mais pas intimes. Il y avait d’autres filles plus jeunes qu’elle fréquentait lorsque les autres quittèrent le village, en plus de fréquenter les garçons. Le frère avait une fiancée depuis qu’il était très jeune et elle voyait bien qu’un jour ou l’autre il se marierait. Alors que ferait-elle au village ? Elle aimait étudier mais comme elle était la plus jeune fille, ils la retenaient. Elle resta au village vingt ans, et pleura quand elle partit parce qu’elle savait qu’elle ne reviendrait pas.
I-004 A01 Orreaga raconte quelque chose sur quelqu’un qui fit un voyage.
I-023b B07 fêtes Les fêtes d’Itsaso ont lieu à la Santa Cruz, le 14 septembre.
I-023a A09 euskara A l’école ils avaient toujours un instituteur hispanophone. Il y a beaucoup de personnes bascophones d’Ultzama à Villava et elle parle avec eux.
I-023a A04 A propos des enregistrements d’Orreaga.
I-023a A05 Elle préfère vivre dans le village qu’à Villava, parce qu’il y a beaucoup de voitures et c’est plus dangereux. L’âge. Si l’on a de l’appétit, même à son âge on peut être bien.
I-023a A01 euskara Elle naquit à Itsaso et elle a vécu là jusqu’à l’âge de douze ans. A présent elle vit à Atarrabia-Villava avec une de ses filles, mais elle sait peu de castillan. Les enfants de son fils savent l’euskara mais la père peu. Elle perdit sa mère quand elle était petite.
I-005 A09 Le travail d’enseignante d’Orreaga. Elèves d’Itsaso.Les gens vont à Pampelune.
I-005 A12 école Ils supprimèrent la taverne de Mezkiritz, mais les jeunes arrangèrent la société, et c’est très bien. A Itsaso il n’y a plus d’école, tous les enfants de la vallée vont à Jauntsarats.
I-005 B01 La distance d’Irurtzun à Pampelune, et d’Ultzama à Pampelune.
I-011 A01 Orreaga raconte à Victoriano que quand elle alla à Itsaso elle alla à la société.
I-005 B07 élevage: vaches - voitures Ils utilisent beaucoup de nourriture pour le bétail et dépensent beaucoup d’argent pour cela. Manger à l’extérieur coûte cher. Ils viennent de finir la traite des vaches à dix heures. Ils ont environt trois machines dans chaque maison. Lui vendit toutes les vaches qu’il avait quand ils l’opérèrent. Avant il accompagnait toujours le bétail en voiture. Maintenant il dort dans la voiture. Il eut un accident.
I-005 B04 Il a beaucoup travaillé, mais il a aussi gagné de l’argent. C’est pourquoi maintenant, le moment est venu d’en profiter.
I-077b B03 Certaines plaisanteries sur l’enregistrement. Une des femmes qui est là est de Berastegi. L’interlocuteur est très bien conservé.
SN-007a A06 religion: San Urbano Ils avaient de la dévotion pour San Urbano et ils allaient à Gaskue. Il soignait les rhumatismes et le 25 mai on faisait une fête. Elle n’avait pas coutume d’y aller, elle s’y rendit seulement quand fut inaugurée l’église.
I-068a A12 euskara: basques Il n’y a pas beaucoup de bascophones à Urritzola. Le village le plus bascophone d’Ultzama doit être Auza. Quelques bascophones des alentours. “Ils ont dû faire le travail”
I-025 B04 Histoires du propriétaire et des maisons. Histoires concernant la santé.
I-036 B06 Avant ils n’avaient ni eau, ni lumière.
I-019b A01 euskara: basques Elle dit sans cesse qu’elle ne sait pas l’euskara. A propos d’autres personnes bascophones. Son mari mourut il y a deux ans et Don José María l’emmena à la résidence. Il y a une autre femme d’Ultzama mais elle ne veut pas parler avec Orreaga. A propos des enregistrements et des personnes bascophones d’Ultzama avec lesquelles Orreaga pourrait s’entretenir. Elle rencontrera des gens d’Ultzama à la résidence de Gerendiain.
I-056 A14 Il a attrapé un mauvais rhume. Son nom est Meltxor Bizkarrondo de la maison Lopitxenea.
I-056 B08 route Maintenant les gens meurent par accident. Accidents de voitures. La route de Olague. A propos de certaines routes.
I-046 B02 Ils cultivaient le blé, l´orge, l´avoine, la vesce. Trois jeunes filles sont venues avant poser des questions. Comment il dit : Je crois qu´elles vivent à Pampelune.
I-046 B03 souvenirs, mémoire Ceux de cette maison étaient aussi "kutxagile" autrefois, le père et le grand-père. Quelques détails à leur sujet. Histoires de familles.
SM-001b A01 Présentation d´elle et de son mari. Elle est originaire de Mezkiritz et son mari d´Irurita. Comment elle fit la connaissance de son mari, par l´intermédiaire d´une tante qui vivait à Bozate. Elle vécut douze ans à Irurita, trois ou quatre ans à Pampelune, et le reste du temps à Mezkiritz.
SM-006a A01 Les dialectes basques de Mezkiritz et d´Irurita. Fermin donne son nom et son âge.
SM-006a A09 La maison Martin Lorenzo était celle de Fermin. Mais elle s´effondra. Avant cela, la mère et la soeur moururent. La mère travaillait à nettoyer le linge pour les autres. Son père était un très bon travailleur et il travaillait toujours avec le père de Perpetua. Finalement, il perdit la tête. Fermin n´a qu´une fille. A propos de la vie après le mariage.
SM-009 A01 ville Il a eu trois enfants. Felipe, le plus jeune fils, est marié et il a une fille. Le nom de la maison est Adamenea. Les plus vieux voisins du village. Des religieuses auraient fondé le village. Autrefois, il n´y avait pas de fontaine et un Basque de retour d´Amérique en fit installer une. A présent, l´eau des maisons vient de Lastur.
SM-009 A08 Il avait vingt-cinq ans quand il apprit ces chansons. Maintenant il en a quatre-vingt huit.
SM-009 A10 service militaire Ils tiraient au sort pour savoir qui irait au service militaire. Il devint obligatoire en 1912. Ensuite, il travailla à la maison, comme paysan. Ils ne faisaient pratiquement pas de contrebande.
SM-009 A11 Il revint d´Amérique pour consoler ses parents. Ils rénovèrent la maison. Combien touchaient les ouvriers de chaque corps de métier par jour. La vie était dure à cette époque, car il n´y avait pas de machines. Les différentes espèces de vaches. Les chevaux. On gagnait davantage avec le bétail qu´avec la terre. Les gens tiraient de l´argent de la contrebande. Le brabant et la houe. Il a bêché deux potagers cette année.
SM-010a A07 charbon Ses fils allaient faire le charbon.
SM-010a A10 La maison s´appelle Eloi Iriarte. Estefania naquit à Abaurrepea. Elle apprit l´euskara dès son plus jeune âge avec sa mère. Son père était charpentier et maintenant ses fils sont charpentiers.
SM-010a A12 métiers: menuisier Ils allèrent d´Abaurrepea à Agoitz. Les fils travaillèrent comme charpentiers dans une fabrique, mais ils souhaitaient se mettre à leur compte. L´aîné commença à travailler comme assistant avec un homme d´Erro et finalement il acheta l´atelier. Alors ils partirent tous vivre là-bas.
I-041 B01 ville On faisait le pain à la maison tous les huit jours. A présent, le village compte peu d´habitants et ils sont vieux. A propos de certains d´entre eux.
I-041 B03 Bien qu´elle n´ait pas eu à tuer la brebis, il lui est arrivé de la travailler.
I-041 B05 anecdote Elle n´a pas entendu parler de phénomènes étranges ou liés à la sorcellerie qui aient eu lieu dans le village. Durant la guerre, ils prétendirent avoir vu des maquis dans la forêt, mais ils ne passèrent pas par le village. Le médecin Samaniego allait au village. Ses frères naquirent à Pampelune. Sa mère fut malade et on l´emmena à l´hôpital. Avant, de nombreux enfants mouraient.
I-041 B08 euskara Différences entre les mots "mendia" (montagne) et "oihana" (forêt). Entrée, fenêtre. Le travail de sa fille. A propos de parents bascophones. Quand ils entendent parler en euskara dans la rue ils se retournent.
I-091a A01 métiers: fabricant de cuillers Son mari s´appelait Inozenzio et il était du village. La maison s´appelle "Moña". Inozentzio et Felipe faisaient des cuillères. Ensuite, Felipe partit en Amérique. Ils transportaient le buis à dos de mulet de Sakarte et de la région d´Aurizberri. Marcos aussi faisait des cuillères.
I-040 A04 fêtes - tabac Les fêtes durent quatre jours. Mais au village, il y a moins de jeunes à présent. A propos de certaines personnes du village. Le jour de la Fête-Dieu, deux couples allaient en France par la montagne. Là-bas ils dansaient. Il a toujours fumé, au moins un paquet par jour.
I-040 B03 anecdote Il connaît Mezkiritz mais pas les gens de là-bas. Le jour précédant les fêtes, ils laissaient les vaches sur la montagne Ipete. A A propos de certaines maisons et de certaines personnes du village. A propos de quelqu´un qui est en Amérique. A propos d´un couple qui se maria et eut des enfants déficients. Les mariages entre parents.
I-048 A07 Il est en train d´oublier l´euskara.
I-048 A08 danse Il dansait beaucoup. Et il gagna même quelques concours. Il y a sept ans, il fut hospitalisé. Ils lui firent subir un traitement et comme il prit plusieurs kilos, il ne peut plus danser.
I-048 A09 élevage: bétail Il a eu du bétail.
I-048 B02 alimentation: café Perpetua dit qu´ils récoltaient aussi le café.
I-048 B04 corde Bilurra : corde faite avec de l´osier.
I-048 B09 maison: noms - métiers: médecin Le docteur Samaniego avait la réputation de faire très mal. Deux cas. Il vivait à Bizkarreta-Gerendiain. Les maisons de Bizkarreta-Gerendiain. A propos de certaines personnes du village et des restaurations de maisons.
I-048 B14 métiers: secrétaire - respect Aujourd´hui, il y a moins de respect qu´autrefois dans les relations entre les personnes. Avant, on respectait beaucoup le secrétaire.
X-031 A01 Les produits perdent son activité.
X-031 A02 Annonces d´achat et de vente.
IC-003b A03 Il a de l´arthrose à la hanche.
IC-015b A01 service militaire - temps L´hiver a été rude cette année. Il est toujours resté au village, il a déménagé d´une maison à une autre quand il s´est marié. Il fit son service militaire à Zaragoza et Pampelune.
IC-015b A03 Il connaît Donostia-San Sebastian et c´est très différent. Il a une soeur à Lesaka. Le temps est très rude en hiver.
IC-015b A06 La grand-mère est maintenant très âgée. (10.15") Ils sortent les patates de la terre.
IC-015b A08 Ils ont un chien de berger. Il n´y a pas de bar.
IC-015b A16 Ils évoquent Donostia-San Sebastian. A propos du mot "mina" (mal, douleur).
IC-015b A20 tabac - élevage: aliment Il fume deux paquets de cigarettes par jour. Ce qu´ils dépensent chaque mois pour le fourrage.
I-092 A06 Une maison aux coins rouges avait une fenêtre où résidèrent de nombreux libéraux et carlistes. Mais ils la supprimèrent. Il y avait une chocolaterie, mais ils la laissèrent aussi s´effondrer.
II-130b A03 dantzari Martin était un très bon danseur. Il a même gagné quelques prix. Il se rendit à Barcelone avec Faustino. Ils apprirent aussi des danses souletines. Alors qu´il avait vingt-trois ans, il mourut de l´appendicite.
SC-002c A03 Il a seize ans et il a appris l´euskara. Il joue de l´accordéon et connaît les danses de Luzaide. Il a un prix qu´il a gagné à Luzaide.
SK-006a A02 libre Présentation du livre sur la toponymie de Pampelune.
IR-014b A04 Pendant treize ans elle resta travailler dans un hôtel, quand elle était célibataire. Une fois mariée, elle cousait à la maison. Comment elle apprit la couture.
X-008e A01 clauses abusives On trouve des clauses abusives dans de nombreux contrats. Exemples : contrats de téléphone, clauses qui refusent le droit à la dévolution pour un magasin, dans les contrats immobiliers… La loi en vigueur depuis 1994 et quelques exemples : les clauses qui créent l´inégalité, celles qui suggèrent des pénalités abusives, celles qui donnent au commerçant le droit de changer le prix… Selon lui, au moment de signer un contrat, les gens ne prêtent pas l´attention nécessaire à ces clauses. Le plus important est que les gens sachent qu´il existe une loi qui défend les consommateurs contre ces abus.
X-015b A07 amendes Là-bas, les sanctions pour conduite en état d´ébriété sont plus sévères. A propos des fêtes et de la société (association) d´Aniz. Là aussi, les Basques se réunissent dans certains endroits pour souper et jouer au mus. Ils parlent toujours de choses d´ici. Aurevoir.
X-011a A02 mode de vie Manuel passa trente six ans à la ferme. Ce n´était pas une bonne ferme et il partit travailler à Doneztebe. Agustin vécut à la ferme jusqu´à ce qu´il parte soldat, à vingt ans. Il partit à Santander préparer le service, et cela se passa bien. Au retour, il partit travailler, sa hache sous le bras, à Irati et dans les montagnes françaises. Ensuite il entra à l´usine. Il est célibataire. Margarita partit à quatorze ans travailler comme servante, à Doneztebe. Ensuite elle alla vivre là-bas. Felipe resta à la maison vingt-huit ans. Il se maria et ils ouvrirent un magasin à Doneztebe. Jusqu´à son mariage, il travailla dans la montagne.
X-011a A12 société Tous les matins, Margarita parcourt sept kilomètres à pied. Ensuite, elle fait les travaux domestiques et ils vivent tranquillement. Agustin a un jardin et il se promène, là et ailleurs. (74:00") Arkupe n´a aucun accord avec les municipalités. La moitié de son local est payée par le Gouvernement de Navarre et l´autre moitiés par eux. Aurevoir et remerciements.
N-075 A01 Autrefois, Ustaritz était la capitale du Labourd, et même si maintenant c´est Bayonne, il y a toujours là-bas une empreinte culturelle. Elle voulait connaître la Navarre et avec sa soeur, elle commença à voyager. Plus elle découvrait la Navarre et plus elle l´aimait. Elles étaient amies de Barandiaran et celui-ci leur proposa de faire un travail. Elles le firent sur Aria de Aezkoa et demeurèrent à Garaioa. Tout comme sa soeur, elle se maria avec un garçon de Auritz. Quand elle se maria, elle avait vingt-cinq ans et elle partit vivre à Pampelune.
N-075 A03 Dans sa famille, on a toujours été à l´extérieur. Mais dans son village, ils ont toujours été paysans et meuniers. Bien que sa mère fût de Donostia-San Sebastian, et que son père naquit aux Philippines, ils ont toujours été très basques.
N-075 A05 euskara Elle est restée aussi à Auritz. Là-bas aussi on parle en euskara. Il y a une femme du Pays basque nord qui s´est mariée et qui vit là-bas. Sa soeur aussi vit là-bas, ainsi que la mère du mari, bien qu´elle soit de Baztan. Elle est traductrice. Mais elle a plus de difficultés avec l´euskara qu´avec les autres langues. Selon elle, la famille est ce qu´il y a de plus important et comme elle croit que ce que les parents peuvent donner aux enfants, personne d´autre ne peut le donner, elle est maîtresse de maison.
IC-002a A05 Les coutume sont très différentes aujourd´hui. A propos de certaines personnes.
II-078b A01 religion: curés Présentation : Le père Iratzeder parle du père Lertxundi. (02:15") Le père Lertxundi était de Ciboure. Son père d´Orio et sa mère d´Ascain. Les arrière-grands-mères de leurs deux familles (du père Lertxundi et du père Iratzeder) étaient parentes. Quand il avait dix-huit ans, Lertxundi décida de se faire ordonner. Ils l´envoyèrent à Jérusalem et il y resta six ans. Il était déjà musicien. Il étudia les vieux chants de là-bas. Il revint en 1939. Ici aussi il commença à recueillir les chansons de village en village. En 1947, il publia son grand livre "Kantikak" (Cantiques). Il repartit à Jérusalem et y resta cinq ans. A son retour, il fit la Passion.
II-078b A03 Réponse de Lertxundi à la lettre écrite par Iratzeder lui disant le travail qu´il y avait à faire sur les chansons en euskara.
II-078b A08 euskara: apprendre l´euskara Bien qu´il fît aussi des harmonisations, il préférait celles à une voix. Le peuple chantait d´une seule voix et il avait toujours le peuple à l´esprit. En 1967 eut lieu une grande assemblée d´ecclésiastiques à Zumarraga. Le père Lertxundi avait préparé le livre de messes pour toute l´année et les chansons. Mais ils commencèrent le travail de traduction en euskara, laissant cela de côté, même si ensuite ils prirent quelques chansons faites par lui. Ceux du Pays basque sud ne surent pas valoriser letravail qu´eux-mêmes avaient réalisé.
II-078b A10 chanson Ce que Lertxundi écrivit en 1947, quand il entendit les nouvelles chansons. (32:00") Chant de messe. (33:13") La suite de ce qu´il écrivit en entendant les nouvelles chansons.
PP-033 A01 A propos d´un jeune qui n´était pas heureux au village et qui partit à Barcelone, et de sa famille.
PP-033 A03 anecdote Sur la famille. Les frères et soeurs. Antonio se rendit à Errementenea comme domestique et il se maria avec une fille qui grandit avec cette famille. Ils opérèrent la femme et après être revenue à la maison, elle tomba dans les toilettes et mourut. Histoires de Feliziano, Emiliano, Hilario et leurs femmes et anecdotes sur le travail. Le plus jeune frère alla au séminaireà l´âge de vingt et un ans. Anecdotes du séminaire.
PP-033 B01 anecdote Sa mère vint comme servante à sept ans. La maîtresse de la maison où elle se trouvait attrapa la gangrène dans une jambe et quand ils lui dirent qu´il faudrait l´amputer, elle dit qu´elle préférait mourir. Cette femme mourut et sa mère eut à s´occuper de ses dix enfants. Elle resta dans cette maison jusqu´à ce qu´elle se marie à dix-neuf ans. Les parents de son mari avaient un domestique et une servante, mais au lieu de les aider, ils se comportèrent très mal et ne leur laissèrent rien. Davantage d´histoires au sujet de la famille. Les oncles partirent en Amérique en 1930. Comme la guerre arrivait, ils voulurent emmener leurs neveux avec eux. Mais ils ne voulurent pas laisser les parents tout seuls et l´un d´eux resta ici. Anecdotes au sujet de la famille d´ici et celle de là-bas. Les maris et les femmes des frères et soeurs.
N-039 A01 Quelqu´un est en train de jouer du piano. (15:00") Ce que faisaient et font les gens qui étaient dans la maison. (19:00") A propos de ceux qui sont en train de manger.
N-039 B02 Les activités organisées par l´association Etxebeltz de Erratzu : Conférence sur l´émigration. Les intervenants furent Mikel Aranburu et Alberto Aldai. Seize personnes participèrent au concours de peinture, parmi elles deux enfants. Le premier prix fut pour Javier Igoa, de Lesaka, et le second pour Paz Unkiano, d´Hernani. Les membres du jury. Samedi prochain, il y aura une conférence sur la mycologie avec l´intervention de Xabier Lazkibar de la société Arantzadi. Le dimanche, le groupe "Pequeño Teatro" (Petit Théâtre) présentera une oeuvre. En dehors du concours de peinture, toutes les activités se sont faites en euskara.
N-039 B03 Ils ont recommencé à faire de la gymnastique. Cette année, aucun homme n´y va. (25:20") Un accident eut lieu sur le pont d´Arraioz. Il n´y eut pas de blessé grave. Ils sont en train de faire le fronton. Histoire drôle. (30:00") A propos de la foire d´Elizondo.
X-005a A02 voyage - handicapés Programme de vacances pour handicapés. Ils ont différentes possibilités : l´Italie, Paris et Benidorm. Ils peuvent y aller seuls ou avec un accompagnateur. C´est la même coordination qui organise. L´"inserso" a organisé le programme de vacances pour le troisième âge. Cependant, le gouvernement de Navarre organise les séjours en stations thermales. Le système de réservation de places a changé pour les voyages de l´inserso.
I-055 A05 euskara Ils n´avaient pas coutume d´aller à Igoa. Ils allaient à Ilarregi, Auza, Larraintzar, Alkotz… Je suis fan de cela (j´aime beaucoup cela). L´euskara unifié et les différents euskaras. L´euskara d´Egozkue et Leazkue est semblable à celui de Lantz.
S-004b A01 discours Discours de Satrustegi à l´occasion de son entrée à l´Académie de la Langue Basque "Euskaltzaindia". (49:40") Chanson.
SD-001b A03 anecdote A Albisturrenea, la famille vivait sans hommes. A propos de cette famille. A propos des hommes qui passèrent par cette maison. A propos d´un homme qui mourut dans la cabane et ses obsèques.
SD-009a A01 agriculture Présentation par lui-même. Comment il apprit la musique et à jouer du txistu. Il se maria à vingt-quatre ans et se chargea de l´auberge que tenaient ses parents. Il a un fils et une fille, et deux petits-enfants. (03:35") La plupart des gens de Sare vivent de l´agriculture. Comme cela rapporte peu, les enfants travaillent à l´extérieur, dans des entreprises.
SD-009a A04 études Il alla à l´école à Ataun. L´instituteur était aussi du village et il ne savait pas grand chose. Il était âgé et n´avait aucune méthodologie concrète, mais il avait un grand coeur. Il était nationaliste. Il leur parlait toujours en euskara. Ses successeurs, en revanche, leur interdisaient de parler en euskara. Ensuite, il alla au séminaire à Donostia-San Sebastian et resta là-bas douze ans. Au début ce fut difficile, car il ne savait que l´euskara. A vingt-quatre ans, il décida de continuer. Il aimait étudier et partit à Paris. Il étudia la philosophie et la sociologie et fit une thèse sur le problème nationaliste du Pays basque. Depuis lors il vit à Bayonne. (20:40") Le Notre Père en euskara.
D-012 A05 anecdote - temps: inondations Sa soeur ouvrit le salon de coiffure et elle alla à Tolosa l´aider. L´autre soeur tenait un bar et elle resta là ensuite pendant onze ans. Après la guerre, il y eut des inondations à Tolosa et ils emmenèrent aussi les animaux. Les maisons où ils ont vécu.
D-012 A02 Le père était fils d´une femme célibataire et il fut élevé dans une autre maison. Ils amenèrent une fille et un garçon à la maison et finalement les deux se marièrent (ceux qui furent ses parents). C´est le curé qui lui a donné son prénom. L´une d´elles est également fille de femme célibataire et elle se maria à seize ans avec celui qui était domestique chez elle.
D-012 A03 Elle avait l´habitude de garder les vaches. Pendant la guerre aussi. Ensuite, elle travailla aussi comme bergère.
SS-002b A01 métiers: musicien Ses parents étaient basques, les deux d´Urdiain. Mais les parents de sa mère étaient d´Ameskoa. Ils ne savaient pas l´euskara. Elle apprit le castillan parce que les cousins de sa mère, ceux d´Ameskoa, leur rendaient souvent visite. Mais les gens d´Urdiain ne savaient pas le castillan et ne l´apprenaient que quand ils allaient à l´école. L´instituteur était bon et quand il se retira, ils allèrent le trouver et lui proposèrent quelque chose en échange du service rendu, et il ne demanda pas plus de 200 pesetas par an. (03:25") Pendant les grandes fêtes, les joueurs de tambourinss allaient faire la quête dans toutes les maisons du village. Quand ils perdirent les élections municipales, ils jetèrent le tambourin. A ce moment là déjà, Miguel Jose savait jouer du txistu. En l´espace de deux années, les choses s´oublient et à nouveau tout le monde est content avec celui-ci.
SM-006a A01 Euskara de Mezkiritz et d´Irurita. Fermin dit son nom et son âge.
X-020a A03 faim: grève de la faim Les vingt-huit maires qui sont en grève de la faim font des "poteos" (tournée des bars) à l´eau, afin que tout le monde voie qu´ils sont là. Ils sont allés à Donostia-San Sebastian visiter les prisonniers mais ils ont eu quelques altercations avec la police autonome basque. D´abord ils sont allés à l´hôpital voir les prisonniers et ensuite, ils se sont rendus à la prison de Martutene. Là ils ont joué du txistu et ont chanté et les prisonniers sont sortis aux fenêtres. Mais quand ils sont allés du côté du quartier des femmes, la police autonome est arrivée et ils ont arrêté le maire de Lezo. Les autres sont allés se plaindre et ils l´ont libéré. Ils sont rentrés et pour changer d´ambiance, ils sont allés faire le "poteo" à l´eau à Altsasu. Les maires continueront leur grève de la faim jusqu´à samedi.
II-123a A05 A propos de l´affaire Maurice Papon.
N-066 A01 temps De moins en moins de monde va à la messe. (02:00") Il fait vraiment mauvais et le printemps a du retard. Le mode de vie a beaucoup changé. On ne trouve pas non plus de gens pour discuter tranquillement. Autrefois on mangeait des cerises en mai. (05:30") A propos de certaines personnes du village. (12:05")A propos des devoirs scolaires : l´enregistrement, et la collecte de vingt-cinq variétés de légumes, avec les fleurs et tout.
N-066 A02 agriculture: greffes Comment ils faisaient les greffes. Ils entouraient les arbres de bouse de vaches et de toile. (17:45") On oublie les coutumes et les savoir-faire. Tout a changé.
X-023b A02 (10:15") Ils voulaient que la Forêt de Bertiz soit inscrite sur la liste des forêts d´Europe et pour cela elle doit répondre au critère suivant : ne pas avoir été aménagée durant des années. A cause de cela, ils s´opposent au Gouvernement de Navarre qui veut nettoyer cette forêt.
X-023b A03 UEMA Les municipalités regroupées au sein de l´association UEMA ne sont pas contre le castillan, quand elles doivent l´utiliser elles le font, mais elles veulent fonctionner en euskara. Elles sont en zone bascophone et souvent, elles rencontrent la situation inverse : vouloir recevoir un service en euskara et ne pas pouvoir. Cette année, la journée de UEMA aura lieu à Zeanuri. Le programme est le suivant : acte officiel, musique, sports basques, repas populaire, clowns, bal…
X-023b A04 route Les motifs pour supprimer les péages. A propos de l´autoroute qui traversera la Navarre. Marche en montagne de Durango à Zarautz.
XH-001 A01 chanson - bon mot (03:35") Cette semaine, la radio Xorroxin sera à l´ikastola. Aujourd´hui ce sont les enfants de 4ème niveau qui feront l´émission. Chacun se présente. (12:10") Calendrier des activités : Sainte Agathe, "Orakundea", Carnaval… Conseils pour s´occuper des animaux domestiques. Blagues. Chanson.
XH-001 B01 adivinette Félicitations; (17:40") Concours : devinettes.
XH-023 A04 Félicitations avec des chansons dédicacées.
SK-001a A02 Azkue Comment Laffite rencontra Azkue. Les travaux qu´il fit pour lui. Opinion sur Azkue : les erreurs que provoqua sa non maîtrise du français, il n´était pas linguiste. Mais on lui doit beaucoup. Parfois il voulait faire le travail trop rapidement. Quel homme il était : il était simple et bien qu´il connût des problèmes d´argent, il n´était pas du tout égoiste. Quand il fit sa connaissance, il était déjà âgé. Lorsqu’il s’agissait d’évoquer des thèmes ayant trait à la grammaire, il s’animait et avait un bonne mémoire. Il vivait immergé dans son monde.
SK-006b A02 La conférence de presse sur les déclarations de Miguel Sanz et la réponse au recours déposé après le refus, en 1990, d´attribuer une licence à la radio "Euskal Herria Irratia".
II-129b A01 mode de vie Présentation. (03:10”) Au bar il y avait toujours du monde. A l’époque il n’y avait que du vin et de la limonade. Les jeunes avaient coutume de chanter.
II-129b A07 Les enfants d’aujourd’hui ont de l’argent dès le départ et tout ce qu’ils veulent. Il ne faut jamais avoir honte de ce que l’on a fait, ce qui a été vécu est vécu et il faut en sourire. (44:20”) Aurevoir.
II-146a A01 mode de vie Manex vit dans la maison Ametsa de Sare. Il a écrit de nombreux chants et couplets versifiés. (01:48”) Il naquit à Sare en 1917. Ils étaient quatre frères et une sœur, et il est le seul survivant. Le père était charpentier et la mère était au foyer. Il alla à l’école de Sare jusqu’à l’âge de douze ans. Il reçut le certificat et sa mère l’emmena à Donibane. Là elle le laissa travailler. C’était dur mais les Basques étaient habitués à cela. A dix-huit ans il entra dans la marine pour trois ans. (05:50”) Il vivait à Paris et se maria avec une jeune de là-bas. C’est dommage. Le fils ne sait pas l’euskara et c’est impardonnable quand on est fils de Basque.
II-146a A03 anecdote Il a écrit une centaine de vers. Ce sont ses amis qui l’ont découvert, lui écrivait pour lui-même. Il est triste que les jeunes ne sachent pas l’euskara, ni rien du Pays basque, mais plus triste encore que les adultes n’aient pour tout cela aucun intérêt. Pour lui, cela vaut la peine d’essayer de faire quelque chose. Les premiers vers qu’il sortit : il fit dix vers pour expliquer leur vie quand ils étaient prisonniers à Miranda. Il raconte comment ils sortirent.
II-168a A07 euskara Les amis qu’il a aujourd’hui. Certaines infirmières savent l’euskara. Il lit en euskara comme en français. Il comprend mieux le souletin que l’euskara unifié. Il est intéressé par la culture. Il ne joue pas de musique mais il était danseur. Actuellement, la plupart des groupes de danses sont composés de filles. Son professeur de danse. A propos des pastorales et des fêtes. A Maule/Mauléon on entendait du français, de l’euskara, du castillan parce que beaucoup d’Espagnoles travaillaient dans les usines d’espadrilles. (45:50”) Aurevoir.
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IC-012 A08 grammaire: lexique
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IC-005a A07 Il n’a pas de permis de conduire, quand il était jeune, il n’y avait pas de voiture. S’il était jeune aujourd’hui, il passerait le permis et il irait là où il veut avec sa voiture.
IC-002c A05 Le chemin de Muskilda. Il y a longtemps qu’elle n’est pas montée à pied. Son fils l’emmène de temps en temps en voiture. Cette côte est très mauvaise pour les personnes âgées parce qu’elle est très raide. L’itinéraire de l’enquêteur. La locutrice a peur que quelqu’un se moque d’elle en écoutant l’enregistrement.
IC-002c A07 Peu de voyages. Le bois vient des forêts communales et privées. Irati est une communauté de vallées. Les autres personnes bascophones du village. Dans sa jeunesse, il y avait beaucoup de travail et peu de distractions.
IC-004a A04 Quand elle était à Abaurregaina, pendant que les patrons faisaient la sieste elle allait ramasser les champignons avec la fille d’un carabinier. Elle ne se souvient pas des prières et des vieilles chansons, seulement de celle-ci : "ogi zerutik etorria zu zera gure poz guzia" (pain tombé du ciel, tu es toute notre joie). Les choses, et aussi l’euskara lui-même, s’oublient si elles ne s’utilisent pas. Elle ne veut pas qu’on la prenne en photo parce qu’il lui semble qu’elle va paraître laide.
IC-009a A07 Les travaux du jardin. Les rideaux de la cuisine ont noirci à cause de la fumée du feu. Une échelle qu’ils avaient installée récemment dans la maison s’est cassée et ils ont fait une réclamation. Ils viennent d’arranger la maison Maixterrena d’Orbara et ils ont mis une échelle semblable.
IC-009a A09 L’enquêteur a sa voiture abîmée et ils lui en ont prêté une autre. Faire réparer la voiture coûte très cher.
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N-002 A03 Ils étaient très religieux. Ils se rendaient aux ermitages, pas pour faire la fête, mais pour prier. Ils emportaient un gâteau à la messe, en guise d’offrande. La messe était en latin et le sermon en euskara. A Aldatz vivaient quelques familles riches qui avaient plusieurs domestiques. Le dimanche, les hommes jouaient au mus au bar. La première fois qu’ils virent une voiture, ils furent stupéfaits de la force qu’elle avait. Son mari fut dispensé d’aller à la guerre parce qu’un secrétaire bien connu l’envoya à la maison. A présent la vie est plus facile que quand elle était jeune. Les jeunes d’aujourd’hui sont plus joyeux que ceux d’autrefois.
N-030 A04 Il naquit dans la ferme d’Etxebertze. La mort de son frère aîné : dans la ferme il y avait beaucoup de puces et à cause de cela, le frère dormait dehors. Il semble qu’il prit froid et mourut d’une pneumonie. Bien qu’il fût malade, ils ne se plaignait pas parce qu’il semblait que cela lui fît honte. Le locuteur a célébré récemment ses noces d’or.