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euskara [140 resultados]

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D-016 A01 Guerre civile Souvenirs de l’époque de la Guerre Civile: situation familiale, faim, situation de la langue basque, rôle de l’église, école.
I-002a A02 L’euskara unifié et l’euskara ancien.
I-013 A04 anecdote A propos du travail que souhaite faire Orreaga sur le basque d’Ultzama. Les enregistrements qu’il a réalisés. L’enregistrement du curé.
I-018 B04 divers - famille: petits-enfants Ils parlent de leurs petits-enfants. A la maison tous parlent l’euskara. A l’heure actuelle les jeunes sont différents. Elles n’allèrent pas à l’école mais elles savent lire.
I-018 A05 A Auza l’euskara se perd. Avec le curé ils parlaient en basque.
I-019c B06 A Etxaleku on récite le rosaire en euskara.Le village est plus bascophone.A propos de quelques personnes d’Urritzola.
I-028 A08 grammaire: tutoiement, vouvoiement A propos de l’euskara d’Ultzama. Les parlers extérieurs sont différents.L’euskara en Amérique. Les programmes de radio en euskara, dans l’Idaho. Celui qui vit avec la soeur parle uniquement en euskara avec elle.Dans quelles circonstances ils utilisent le vouvoiement de politesse et le tutoiement. L’un d’eux n’a pas l’habitude de tutoyer, il utilise seulement le vouvoiement. Autrefois on s’adressait au curé et au père à la troisième personne. On vouvoyait la mère. Comment ils disent grand-père et grand-mère et quelle forme ils utilisaient.
I-030 A04 L’euskara n’était pas utilisé.
I-030 A07 Son opinion sur l’euskara : il ne sert à rien.D’un village à l’autre l’euskara change beaucoup.
I-030 B04 Description du basque de certains villages.
I-033a A11 Un, un autre. L’euskara est différent à Ultzama et sur place. Le sien ressemble à celui d’Etxaleku.
I-033a A03 Avec ses fils il ne parle qu’en castillan. Le fils, en revanche, sait l’euskara et il ne parle qu’en basque à son fils.
I-033a A06 Quand ils parlent en euskara s’il y a un mot qu’ils ne connaissent pas ils passent au castillan. L’euskara de Gartzaron et Gerendiain est assez semblable.
I-033a B03 anecdote Ils évoquent quelques personnes. Anecdote: la petite-fille utilisait le tutoiement pour s’adresser à sa grand-mère
I-033a B08 anecdote L’euskara fut très déprécié. Anecdote: ce que dit une femme dans un magasin à propos des agriculteurs. On riait d’eux parce qu’ils parlaient en euskara ou un euskara différent.
I-057a A07 divers Age: 77 ans.Il ne savait pas le castillan jusqu’au moment de commencer l’école. La mère était de là et le père de Berasain. Les deux soeurs aînées moururent jeunes. Le frère mourut à la guerre et aujourd’hui seuls restent Juanita sa soeur, et lui. Le grand-père était de Gascue et la grand-mère de Lizaso.
I-057b B01 grammaire: titre de beroriketa Il y a des différences entre l’euskara de certains villages.On s’adressait au curé à la troisième personne et autrefois, se aieuls utilisaient cette forme pour s’adresser aussi aux parents. Les villages les plus bascophons des environs.
I-076a A05 Situation de l’euskara à Ultzama. Les villages où il se conserve le mieux actuellement sont Auza et Alkotz.
I-079b B03 Les personnes bascophones d’Ultzama. Ceux de la vallée d’Atez.Les parents de Gulina. A Basaburua on parle plus en basque que là.
I-080 A10 anecdote Autrefois toutes les bergeries étaient pleines mais plus personne ne travaille dans la montagne à présent. Anecdote concernant un homme qui ne savait pas le castillan.
I-080 A06 A propos de l’euskara: les jeunes ne l’utilisent pas.
I-080 B02 divers La situation de l’euskara à Ultzama : elle empire, seuls les personnes âgées le parlent. Peu à peu la langue disparaîtra.Une fois il alla à Bilbao dans la montagne et se trouva avec de nombreuses personnes qui parlaient des basques différents.Ils évoquent un homme qu’ils connaissent.
I-090b B01 Ils évoquent l’euskara d’Iñaki Camino.Les habitants bascophones de Valcarlos parlent castillan à l’extérieur.
I-095b B20 Avant la guerre, on parlait très peu en euskara.
IR-005 A12 Ils parlaient toujours en euskara. Lui prétend que le sien n’était pas le véritable euskara.
IR-005 B14 Elle a toujours parlé en euskara, avec ses enfants aussi, mais le père leur parlait en castillan et maintenant les fils comprennent mais il parlent mal l’euskara.
IR-005 B15 école - église A l’école, le professeur parlait en castillan, bien qu’entre eux ils parlaient en euskara. A l’église tout se faisait en castillan.Elle raconte que Regina chantait et parlait à la radio, mais elle préfère le silence à la radio.
IR-006 A08 Les trois femmes qui vivent dans la maison ne parlent qu’en euskara. Et les petits-enfants aussi. Aurevoir et remerciements.
IR-008 A02 Il ne sait pas prier en euskara. Ils apprirent quand ils étaient enfants mais on oublie.
IR-011a A01 école - chaussure: galoches Questions personnelles : quand et où il naquit, combien ils étaient dans la famille, d’où étaient ses parents. Il parlait en euskara avec ses parents et aussi avec ses enfants.Il alla à l’école jusqu’à l’âge de quatorze ans. Ils devaient parcourir plus de deux kilomètres à pied. Ils chaussaient des sabots : semelle de bois et dessus en cuir, très lourds. Plus tard apparurent les bottes. A l’école ils étaient plus de trente.
IR-011a A14 Un homme étudia son euskara, l’interrogeant sur les phrases, les verbes et le vocabulaire. Aurevoir et remerciements.
IR-012 B03 L’euskara a aussi beaucoup changé. Elle ne comprend pas l’euskara des jeunes, mais l’euskara que eux parlent entre eux n’a pas du tout changé. Avant on faisait tout en euskara.
IR-013 A02 anecdote Anecdote : le petit-fils ne veut pas parler avec elle mais avec les amis il parle très bien. Honoria dit avec qui et où elle parle en euskara.
IR-013 A04 anecdote Quand elle fut hospitalisée, le médecin était basque, d’Etxegarai. Le petit-fils porta un cadre qui plut à tout lemonde. Anecdote avec l’infirmière. Il faut apprendre l’euskara sans blesser personne.
IR-013 B01 Quand et qui lui parle en euskara.
IR-016 A01 Quand il était jeune tout le village parlait en euskara appris à la maison. Dans tous les villages environnants il s’est passé la même chose, l’euskara s’est perdu.
IR-022b B05 L’euskara du Pays basque nord lui paraît semblable et plus facile à comprendre que celui de Biscaye et du Gipuzkoa. Il dit que celui de Biscaye n’est pas de l’euskara mais de l’arabe.
M-006 A02 anecdote Ergoiena a toujours été un village basque et actuellement il l’est toujours. Mais les jeunes d’aujourd’hui parlent un euskara différent, qu’elle prétend ne pas comprendre, le basque étant sa langue maternelle. Tout ce qu’elle a fait en castillan fut le peu qu’elle apprit à l’école, et à cause de cela elle ne sait ni lire ni les chiffres en euskara. Anecdotes arrivées avec le curé du village.
N-023 A01 Age. Il a toujours vécu dans le village. C’est là qu’il apprit l’euskara et il sait peu de castillan. La guerre débuta quand il était au collège et ensuite il est aussi toujours resté au village.
N-035 A02 Actuellement à Etxarri les gens âgés parlent en euskara, mais pas les jeunes. Ils vont à l’ikastola et apprennent l’euskara unifié, mais dans la rue ils ne l’utilisent pas. L’euskara d’Etxarri se perdra. Pour lui il y a une grande différence entre son euskara et l’euskara unifié.
N-067 A01 école Présentation. Quand Nizeta commença à l’école elle ne savait que l’euskara et à l’école ils devaient parler en français. La maîtresse les punissait : au premier qu’elle entendait parler en euskara elle donnait un petit objet. Si celui qui avait l’objet voyait un autre enfant parler en euskara il lui passait l’objet, et celui qui à la fin se retrouvait avec l’objet devait rester une demi heure supplémentaire. Elle resta à Arnegi jusqu’à ce qu’elle apprenne le français, ensuite elle alla à Saint-Jean-Pied de Port à la grande école. Là il fallait aussi qu’ils apprennent l’anglais et l’espagnol. Tous choisirent l’espagnol car ils l’entendaient en permanence à la frontière.Elle voulait continuer jusqu’au baccalauréat, mais ses parents, ne la laissèrent pas. La mère disait qu’une fille se perdait si elle n’apprenait pas à coudre et à faire les tâches domestiques. Elle voulait la liberté et c’est ce qui lui manquait.
N-067 A04 anecdote Maintenant elle veut apprendre l’euskara unifié avec les enfants d’Espinal. Son mari ne sait pas l’euskara, mais son fils oui. Sa fille alla en France apprendre le français et elle sait l’euskara que lui apprit son grand-père,mais comme il est différent, elle ne veut pas parler avec les gens d’Espinal. Quand elle arriva au village, seuls les anciens parlaient en euskara et elle parlait avec eux parce qu’elle se débrouillait mieux en euskara qu’en castillan, c’est pourquoi ils se moquaient d’elle. Un jour, le curé, basque, la trouva en pleurs. Ce que lui dit le bon curé.
N-068 A04 anecdote - Guerre Il resta trois ans à la guerre. Il partit au Maroc et en Espagne; On ne pouvait pas parler en euskara sous peine d’aller en prison. Ils accueillirent dans le village Don Salvador Napal et il disait aux femmes - car il n’y avait pas d’hommes - que parler en euskara était un péché. Et toutes pleuraient parce qu’elles ne savaient pas d’autre langue.
SM-007a A06 Actuellement il y a peu de bascophones dans le village et ils ne parlent pas tous euskara entre eux. Le "coin du village".
SM-011 A16 A Lintzoain on parlait uniquement en euskara, mais aujourd’hui tout se fait en castillan.
X-006b A04 François dŽElizondo - religion: Capucins Francisco de Elizondo : Pascual Bernardino Biguria Uzta, né en 1871. Sa vie : études, travaux, voyages. Il ne savait pas l’euskara mais quand ils l’envoyèrent à Lizaso, non seulement il l’apprit, mais en plus il devint un écrivain basque. Il laissa quatre ouvrages en euskara.
N-043 A5 Ses parents savent le castillan bien qu’ils continuent à vivre au village. Mais elle dit que quand elle commence à parler en castillan tous se rendent compte qu’elle est basque. Ils ont un accent particulier.Son mari est du même village et ils ont enseigné à leur fille l’euskara de leur village. Ils lui disent de le perpétuer.Dans le village, il s’est perdu ces deux dernières années. Dans le village deux familles hispanophones sont arrivées et bien que les enfants étudient en basque, elle pense que c’est à cause de leur présence que les enfants dans la rue parlent en castillan. Dans les villages avoisinants, l’euskara se perdit à l’époque de la guerre.Eux ont toujours parlé en euskara. Elle croit que ce n’est pas si facile de le perdre. Le cas de son oncle : il partit au Canada plus de vingt-cinq ans et il est revenu avec une polonaise, et maintenant il continue à parler parfaitement en euskara. Sa femme est en train d’apprendre..Les gens du village se rendent compte que la langue se perd, que les enfants ne la parlent plus. Ses parents apprirent le castillan à l’oreille. Comme beaucoup d’autres ils ont appris par nécessité.
I-033b B3 Lui est de Gartzaron et la femme d’Erbiti mais ils parlent un euskara semblable.
I-033b A2 Bien que les enfants sachent l’euskara, il leur est plus facile de parler en castillan. Ils sont sur la ligne séparant deux variétés linguistiques et ils disent certaines choses comme les uns, et d’autres choses à la manière des autres. Dans quelle mesure on parle l’euskara dans les villages environnants. Selon lui, l’euskara ne se perdra pas localement mais les jeunes parlent le basque unifié. Beaucoup de gens passent au castillan quand on parle en euskara.
I-010 A3 L’euskara que parle une des femmes. Garçons et filles entre eux utilisent le tutoiement. Entre frères et soeurs certains tutoient d’autres utilisent le vouvoiement de politesse. Les filles d’Igoa utilisent très bien le tutoiement.
I-008a A2 L’euskara a beaucoup de valeur. C’est ce qu’elles apprirent et ils se riaient d’elles. Elles avaient coutume d’avoir peur d’aller à Pampelune, parce qu’on les appelait “paysannes”.Maintenant pourtant, on paye pour apprendre.
I-007 B5 Quand Maria vivait à Pampelune elle parlait en euskara. Mais à présent tout le monde parle catalan autour d’elle. Quand les Catalans se réunissent, entre eux ils parlent exclusivement en catalan, pas en castillan. Les Basques eux parlent en castillan. A Roncal reste une seule femme parlant en euskara.
I-007 A6 L’euskara d’Igoa doit être très joli. Les filles utilisent le tutoiement. Maintenant à Arrarats on ne l’emploie plus, mais avant on l’utilisait aussi.
I-007 A8 Elle parlait en euskara à son mari, mais on se moquait de ses enfants parce qu’ils parlaient basque. Maintenant les choses ont changé. Certains dialectes de l’euskara sont incompréhensibles.
I-006 A5 A Ultzama il y a maintenant une ikastola et ils sont fiers d’être Basques, mais jusqu’à présent ils parlaient en castillan. Il y a à Ultzama plus de gens venus de Pampelune qu’à Basaburua. Le médecin et d’autres aussi parlaient castillan.
I-003 A12 Comment ils présentent les condoléances. Les cousins parlent tous castillan. Mais dans le village ils parlent en euskara.
I-039 A04 Ils ne parlaient pas en euskara avec les femmes.
I-036 A14 divers A propos de l’euskara des uns et des autres. Le curé aussi est bascophone, d’Iraizotz. Avant on travaillait plus que maintenant. Dans le village il n’y a pas d’enfants. A Egozkue, l’euskara s’est perdu. A Iragi on parle encore euskara.
I-036 A06 A Egozkue on parle moins en euskara qu’à Leazkue. Ici les enfants ne savent déjà plus.
I-036 A01 divers Elle parle euskara à la maison, mais les enfants ne l’apprennent pas. Elle a des parents à Lintzoain et à Bizkarreta-Gerendiain et elle avait coutume d’aller là-bas pour les fêtes. Elle s’y rendit à pied plus d’une fois, même seule.
I-042 A06 Elle croit que l’euskara d’Ultzama est plus clair que celui de Leitza.
I-042 A08 Dans le village, quand ils étaient petits, ceux qui aujourd’hui ont entre quarante et cinquante ans perdirent l’euskara, c’était l’époque de Franco. A l’école, ils avaient un maître de Cadreita et il les frappait pour avoir parlé en euskara. Elle apprit le castillan à douze ans. Maintenant les enfants vont à l’ikastola, que ce soit à Larraintzar ou à Burlada. Mais les enfants parlent l’euskara unifié.
I-015 A07 médecin de campagne Son frère parle mieux l’euskara qu’elle. Ils voulaient aller enregistrer une femme. Mikaela, qui connaissait la médecine naturelle, mais finalement elle mourut avant qu’ils n’y soient allés. Cette femme le guérit de la gale avec du sel et en faisant des signes de croix. Le chien d’un mendiant lui enleva complètement. Mais ces femmes sont mortes et ces choses se sont perdues. Il y a un autre homme qui sait faire du fromage et des chaussettes, mais ils croient que ce sont des bêtises et ne prennent pas au sérieux son savoir.
I-015 A05 Il quitta le village quand il avait douze ans, pourtant il parle encore très bien en euskara. Mais à Pampelune chaque fois qu’il le pouvait il le parlait. Il y a toujours eu quelqu’un pour lui faire mauvaise figure. Dans la vitrine il mettait toujours des livres en euskara. Les gens lui demandaient s’il n’avait pas peur. Il fit la même chose avec les livres politiques. Encore aujourd’hui, il y a beaucoup de gens en Navarre qui ne veulent pas parler en euskara.
I-014 A05 A propos de l’euskara d’Almandoz : très fermé. L’euskara d’Olague est très joli. Quand ses filles naquirent, elle leur parla en euskara mais le mari ne le savait pas et finalement elle passa au castillan. Le mari mourut quand sa fille aînée avait huit ans et alors elle n’avait plus envie de commencer à leur apprendre l’euskara.
I-014 A03 L’euskara d’Oskotz est meilleur que le sien. Ils n’utilisent pas autant de mots en castillan. Celui de Muskitz est semblabe au sien. A Berasain, Erice, Eguaras, Auza etc., ils parlent euskara comme eux. A Gerendiain, on parle peu en euskara. A Eltso on ne le parle pas non plus dans toutes les maisons. Ceux de Beruete mangent les mots. Les parlers de Jauntsarats et Arrarats sont très agréables.
I-026 A09 grammaire: lexique A propos de l’euskara. Dire, cinq, Noël, maigre du jambon.
I-026 A03 L’euskara change d’un village à un autre. Maintenant on parle plus castillan. Son euskara est très ressemblant à celui d’Ultzama. Mais elles n’allaient pas jusqu’à Ultzama, même pour les fêtes. Elles avaient de la famille à Beuntza et c’est là-bas qu’elles allaient aux fêtes.
I-069b A03 A propos des parlers des environs.
I-060a A12 école Il commença à aller à l’école à l’âge de six ans, à Pampelune. L’anecdote du premier jour. Le curé était bascophone, de Gaskue, et chez lui on parlait en basque. Dans le village, la majorité des gens parlait en euskara. Ils passèrent au castillan quand ils commencèrent à aller à l’école.
I-060a A08 Quand ils étaient enfants, à Beorburu, ils parlaient euskara. Quand ils commencèrent à l’école, le castillan leur parut plus facile et ils oublièrent l’euskara. A Beorburu il n’y a plus de bascophones nés sur place. Dans les villages environnants, dans ceux où il y avait une école, l’euskara se perdit avant.
N-033 A03 anecdote Son père est de Pampelune et les parents de celui-ci étaient hispanophones. La grand-mère était d’Etxauri et quand elle parlait en castillan elle utilisait quelques mots en basque. Le grand-père était de Garisoain. La grand-mère du grand-père était de Salinas de Oro et elle enseignait le catéchisme en euskara à une soeur du grand-père. Car il y avait des personnes bascophones à cette époque là à Salinas.
I-016b B03 anecdote Ils vont, ils sont allés, j’apporte. A Sakana, ils parlent très différemment, ils emploient les formes synthétiques. Ils évoquent certaines personnes. Quelques anecdotes.
I-016b B02 grammaire: tutoiement, vouvoiement Ils s’adressaient au curé à la troisième personne. La femme ne sait pas. S’ils avaient. Je suis un homme. Y compris dans les villages environnants, l’euskara est différent.
I-012 A01 divers Qui parle en euskara et avec qui. Au sujet d’une famille qui avait coutume de parler castillan à la maison.
I-016a A04 La situation de l’euskara dans les villages environnants.
I-022b A01 anecdote - métiers: maître Les gens du village ne comprenaient pas le castillan. Mais il y eut un instituteur dans le village qui ne les laissait pas parler en euskara et c’est à ce moment là que le castillan entra dans la vie du village. Ce fut juste après la fin de la guerre. Les jeunes d’aujourd’hui, même s’ils vont à l’ikastola, s’expriment uniquement en castillan. Le curé leur demanda comment ils disaient “moisir” en euskara.
I-024 A10 école - ikastola (Abats, saucisses et boudins. “Bofada” (chaleur suffocante)). A l’ikastola ils emploient un euskara différent.et les parents ne comprenaient pas les enfants. Histoires de l’ikastola.
I-004 B04 comportement Parler en castillan lui coûtait. Elle avait un accent très différent et les autres se moquaient d’elle, ce qui fait qu’elle ressentait de la honte à parler. Elle savait écrire et était très bonne en orthographe. Pour elle il était plus facile d’écrire que de parler. Les fins de semaine, ils parlaient surtout en euskara, bien qu’il y ait parmi eux quelques hispanophones. Quand ils allaient à Malloak et qu’ils parlaient avec les hispanophones de là-bas, ils ressentaient moins de honte qu’avec ceux de Pampelune.
I-023a A09 divers A l’école ils avaient toujours un instituteur hispanophone. Il y a beaucoup de personnes bascophones d’Ultzama à Villava et elle parle avec eux.
I-023a A01 divers Elle naquit à Itsaso et elle a vécu là jusqu’à l’âge de douze ans. A présent elle vit à Atarrabia-Villava avec une de ses filles, mais elle sait peu de castillan. Les enfants de son fils savent l’euskara mais la père peu. Elle perdit sa mère quand elle était petite.
I-005 B06 Les jeunes du village parlent majoritairement en euskara. Il parle avec le jeune.
I-077b B13 Ils parlent en mélangeant euskara et castillan. Maintenant les jeunes utilisent davantage le castillan.
SN-007a A01 anecdote Personne de son âge n’a parlé euskara dans le village. Chez elle, l’oncle et la mère parlaient en euskara. L’oncle ne voulait parler qu’en euskara et elle dut l’apprendre. Son père ne savait pas l’euskara et elle devait lui traduire.
I-036 B01 Quelques anecdotes au sujet de l’euskara.
I-036 B03 L’épouse du frère ne sait pas parler euskara et ses enfants encore moins. Le curé parlait en euskara avec l’homme.
I-056 A04 Les variantes de l’euskara parlées à Ultzama sont semblables mais l’euskara de Basaburua est différent. Dans la région de Eugi, les jeunes ne parlent plus euskara. Quand ils étaient jeunes ils allaient davantage jusqu’à Ultzama, car le père était de là.
I-056 A06 Elle a deux soeurs mais elles sont à l’extérieur et elles ont perdu l’euskara. L’euskara le plus difficile est celui de Basaburua, c’est le plus différent de tous les parlers des environs.
I-056 A09 Ils disent certaines choses de la même façon qu’en France.
I-056 A13 Les parlers basques semblables et différents des environs. A présent, ils sont environ vingt cinq à vivre dans le village et certains savent l’euskara. Pour ce qui est de comprendre, ils le comprennent tous. Ils ont peur de faire une erreur en parlant euskara.
I-056 A16 Orreaga a été auparavant à Olague et elle leur dit avec qui elle s’est entretenue. Il y a des bascophones à Olague mais l’euskara s’est beaucoup perdu.
I-025 A03 Ils ne comprennent pas bien l’euskara unifié. Dès l’enfance ils apprirent l’euskara de là-bas et les parlers des environs sont déjà différents. Son euskara est semblable à celui de Basaburu mais celui d’Ultzama présente plus de différences.
I-046 A02 Comment il dit : j´aime aller à la montagne. De nombreuses personnes sont venues faire des enregistrements de l´euskara. Il apprit l´euskara et le castillan en famille. Ses frères et soeurs n´apprirent pas l´euskara.
I-046 A06 Dans le village, il ne reste que deux personnes bascophones. Il utilisait le tutoiement avec ceux de son âge, et le vouvoiement (zuketa) avec les personnes plus âgées. Dans la vallée, ils étaient trente-sept de son âge et à présent ils ne sont plus que deux.
I-047 A07 Dans les villages voisins, on parle le même euskara. Mais les petits-enfants à l´ikastola apprennent l´euskara unifié.
I-047 B03 Dans sa famille, on a toujours parlé en euskara. Maintenant, il ne parle plus qu´avec quelques rares personnes. Ils évoquent Julia.
SM-006a A05 Fermin n´a pas parlé en euskara pendant quarante ans. En revanche, Perpetua parle toujours en euskara avec son mari. Fermin n´a pas transmis l´euskara à ses filles, car il n´en voyait pas l´utilité.
SM-006a A06 anecdote - école Fermin est allé peu à l´école. Le maître frappa un élève avec la règle et l´enfant mourut. Il frappa l´enfant avec la règle sur l´épaule, et il semble que le coeur sortit de sa place. Ce même instituteur frappa un autre garçon et celui-là aussi tomba malade. Le maître était d´Aezkoa et il ne connaissait pas l´orthographe. Ensuite, c´est Don Manuel, le curé, qui fit l´école. Ces deux là n´étaient pas contre l´euskara. Le suivant, Martinez, les punissait lorsqu´ils parlaient en euskara.
SM-006b A02 Quand elle était jeune, tout le monde parlait en euskara. Il y a encore des personnes qui parlent l´euskara dans le village. Les jeunes de la maison sont en train d´apprendre l´euskara. A l´école du village, le curé a donné un cours d´euskara. Un autre groupe se retrouve aussi au sein de l´association. Dans sa jeunesse, on ne parlait qu´en euskara à la maison. Mais quand elles commencèrent à sortir avec les amies, elles passèrent au castillan. Les villages les plus bascophones des environs.
SM-009 A02 Avec le curé Don Jose, tout le catéchisme était en euskara. Les confessions aussi.
SM-010a A03 Quand elle était jeune, l´euskara avait déjà commencé à se perdre. Les anciens le parlaient mais pas les jeunes.
SM-010a A08 Dans le village de Erro, il n´y a plus de bascophone. Maintenant le médecin est en train d´apprendre. Elle a appris avec ses parents, car le père ne voulait parler qu´en euskara à la maison, eux n´avaient qu´à parler castillan dans la rue. Elle fut la seule à apprendre, ses frères non. A présent, quand ses enfants viennent, elle va du côté français, car ils ont de la famille là-bas, mais comme ils ne savent pas l´euskara, elle y va pour pouvoir parler en euskara.
SM-010a A11 Quand elle était enfant à Abaurrepea, tout le monde parlait en euskara, et à Abaurregaina encore davantage. A présent l´euskara s´est beaucoup perdu.
I-041 A04 Quand elle était jeune, elle se réunissait avec d´autres filles pour coudre, mais aucune d´elles ne savait l´euskara et elles parlaient en castillan. Dans sa jeunesse déjà, le village n´était plus bascophone. Sa mère était du village et elle ne savait pas grand chose en euskara. Son père, lui, savait bien, il était d´Eugi. Ils n´utilisaient pas le tutoiement. A l´école de Erro, ils devaient parler en castillan. A propos de certains qui ont appris l´euskara. Ils allaient à Eugi plus que dans les autres villages.
I-041 A06 Les différences avec l´euskara des villages environnants.
I-041 A08 Chaque fois que le père les entendait parler en castillan, il leur disait toujours de parler en euskara, et eux le faisaient. L´euskara de Zilbeti est sans doute plus proche de celui de Erro que de celui de Eugi.
I-041 B08 divers Différences entre les mots "mendia" (montagne) et "oihana" (forêt). Entrée, fenêtre. Le travail de sa fille. A propos de parents bascophones. Quand ils entendent parler en euskara dans la rue ils se retournent.
I-091a A03 école Elle apprit l´euskara toute petite, car ses parents étaient bascophones. Zilbeti était un village très bascophone. Ensuite, ils eurent une institutrice de Pampelune durant de nombreuses années et elle ne voulait rien entendre qui puisse ressembler à de l´euskara. C´est ainsi que la langue se perdit beaucoup. Ses frères n´apprirent pas l´euskara. Ils étaient de la maison Juan Cruz.
I-091a A07 Inozenzio parlait mieux en euskara qu´en castillan, mais avec elle il ne parlait qu´ en castillan. Ses petits-enfants vont à l´ikastola.
I-040 A03 Son beau-père était fabricant de cuillères; Lui est né à Maizterrenea. Sa femme comprend l´euskara mais ne le parle pas. Quand il était jeune, toutes les familles, sauf trois, étaient bascophones. A présent, il ne reste plus que cinq personnes parlant l´euskara. A Mezkiritz, il y a moins de bascophones.
I-040 A05 Dans tous les villages des environs on parlait en euskara. Il y avait quelques différences entre les uns et les autres. L´euskara d´Iragi est très joli. A propos de certains habitants de là-bas.
I-040 B02 grammaire: tutoiement, vouvoiement On utilisait le tutoiement pour s´adresser aux jeunes. Pour s´adresser au curé et aux parents, on utilisait la troisième personne (beroriketa). Il n´en était pas de même dans toutes les familles. Lui s´adressait à ses parents en les vouvoyant. Les hommes parlaient plus en euskara que les femmes. Celles-ci le comprenaient mais ne le parlaient pas. Ces dernières années, les anciens des familles se sont éteints et avec eux, l´euskara.
I-048 B03 Ils ne se réunissent plus et ils ne parlent plus en euskara, car ils l´ont oublié.
I-090a A05 Avant, on parlait davantage l´euskara qu´aujourd´hui. Avec sa mère et sa soeur, il ne parlait qu´en euskara.
IC-003b A02 De son temps, tout le monde parlait en euskara, mais les gens sont partis et lalangue s´est perdue. Des gens de Donostia-San Sebastian y vont mais leur euskara est différent. Quand il est allé à Donostia-San Sebastian, les gens parlaient en castillan. A Aurizberri, selon les personnes avec lesquelles il se trouve, il parle en euskara ou en castillan. Même chose à Auritz.
IC-003b A05 grammaire: tutoiement, vouvoiement - grammaire: verbes - grammaire: verbes, passé Ils prononcent le -n de la terminaison du verbe auxiliaire au passé. A Luzaide, cela est en train de changer. L´euskara du côté français est plus beau, parce qu´ils utilisent le "zuketa" (vouvoiement de politesse). Cette forme était employée avec les personnes âgées et le "hiketa" (tutoiement) avec les jeunes. A présent, les jeunes vont apprendre l’euskara, mais à la maison ils parlent en castillan.
IC-003b A07 Les jeunes vont à Aurizberri apprendre l´euskara.
IC-015b A04 Les jeunes ne parlent plus en euskara. L´école est en castillan. Il y a une dizaine de bascophones dans le village. Avant, ils ne voulaient même pas voir l´euskara et ils passèrent au castillan, et à présent on veut à nouveau l´euskara. D´autre part, il y a la caserne là-bas, et ceux-là parlent tous en castillan. Eux aussi maintenant utilisent peu l´euskara. À Mezkiritz, on parle davantage en euskara.
IC-015b A09 Dans la zone du Baztan, on parle davantage en euskara, les jeunes aussi. A Luzaide aussi, tout le monde parle en euskara. Pendant la guerre, quand il parlait avec des guipuzcoans ou des biscayens, il ne les comprenait pas.
IC-015b A15 A Donostia-San Sebastian, certains sont bascophones, d´autres non. Ce n´est pas la même chose d´apprendre l´euskara à la maison comme langue maternelle et de l´apprendre plus tard dans les livres. Cela l´ennuie de lire en euskara.
IC-015b A17 politique Il connaît la zone de montagne navarraise mais pas celle de la Ribera. Si le Pays basque nord est français ou basque. Les villages intermédiaires. L´euskara est politisé.
SK-006a A01 Evolution de l´euskara écrit.
N-075 A02 L´euskara d´Aezkoa et celui du Pays basque nord sont très proches. A Auritz il y a toujours eu des familles qui parlaient en euskara. La situation de l´euskara autrefois.
N-075 A05 divers Elle est restée aussi à Auritz. Là-bas aussi on parle en euskara. Il y a une femme du Pays basque nord qui s´est mariée et qui vit là-bas. Sa soeur aussi vit là-bas, ainsi que la mère du mari, bien qu´elle soit de Baztan. Elle est traductrice. Mais elle a plus de difficultés avec l´euskara qu´avec les autres langues. Selon elle, la famille est ce qu´il y a de plus important et comme elle croit que ce que les parents peuvent donner aux enfants, personne d´autre ne peut le donner, elle est maîtresse de maison.
SC-008a A05 chanson - vers Euskaldun batek Kaliforniatik (un Basque depuis la California), novembre 1967. A propos de l´unification de l´euskara. Aurevoir.
I-055 A02 Bien qu´ayant vécu à Pampelune de nombreuses années, il a toujours conservé l´euskara. A Eltzaburu et Auza on parle beaucoup en euskara. Son père était de Iraizotz et sa mère de Donamaria, mais il parle l´euskara d´Ultzama. Différences avec l´euskara des villages environnants.
I-055 A05 divers Ils n´avaient pas coutume d´aller à Igoa. Ils allaient à Ilarregi, Auza, Larraintzar, Alkotz… Je suis fan de cela (j´aime beaucoup cela). L´euskara unifié et les différents euskaras. L´euskara d´Egozkue et Leazkue est semblable à celui de Lantz.
SK-001b A01 Euskaltzaindia Nous sommes en période de réactivation de l´euskara. La situation du Pays basque nord.
SK-001b A03 euskara: euskaltzales Il ré-apprit l´euskara au Grand Séminaire, grâce à Jean St Pierre. Comment il apprit l´euskara : avec un seul livre et deux idées qu´il lui donna au sujet de ce livre : c´était un livre religieux et tous les livres religieux en euskara étaient toujours traduits du latin. Il travailla trois mois de toutes ses forces avec le livre d´Arbelbide et il fit un travail gigantesque. Ensuite, il lui dit de prendre la grammaire de Iturri et le dictionnaire d´Azkue. Après onze mois, il publia les vers. (20:00") Il participa aussi au dictionnaire de Lande. Il lut tous les livres de Intxauspe. Jean St Pierre lui montra les livres d´Axular, dont il était le disciple. (24:00") Le premier livre qu´il publia fut les vers d´Iturralde. Et la première recherche, les articles qu´il fit sur le verbe dans son village. Ils donnèrent lieu à quelques récompenses de la part de ´"Euskalzaleen Biltzarra" (l´Assemblée des Amateurs de culture et de langue basques). Il fit un très long travail sur le verbe. Ils lui donnèrent le prix mais ne comprirent rien. Ils l´envoyèrent à Lacombe et celui-ci fut très surpris. Il l´envoya à son tour au médecin Etxepare. A partir de là, ceux-là l´aidèrent et l´encouragèrent beaucoup. Ils l´emmenaient à leurs réunions. Celui qui eut le plus d´influence sur lui fut Etxepare. Ce dernier alla lui rendre visite tous les mercredis durant ses trois dernières années. Outre Etxepare, Hiriart-Urruti l´influença également beaucoup. Poussé par Joseba Intxausti, il publia ses articles.
SK-006b A03 A propos du biscayen et des nouvelles normes de l´euskara.
II-168a A05 radio L’euskara est en train de disparaître. Avant, en famille, on ne parlait qu’en euskara. (28:40”) Comment étaient les chansons des fêtes de l’époque. A présent il allume la radio très tôt et il entend des chansons nouvelles. A propos des radios.
II-168a A07 divers Les amis qu’il a aujourd’hui. Certaines infirmières savent l’euskara. Il lit en euskara comme en français. Il comprend mieux le souletin que l’euskara unifié. Il est intéressé par la culture. Il ne joue pas de musique mais il était danseur. Actuellement, la plupart des groupes de danses sont composés de filles. Son professeur de danse. A propos des pastorales et des fêtes. A Maule/Mauléon on entendait du français, de l’euskara, du castillan parce que beaucoup d’Espagnoles travaillaient dans les usines d’espadrilles. (45:50”) Aurevoir.
IC-016a A02 Guerre civile
IC-016a A06 mode de vie - travail
IC-003a A02
IC-003a A05
IC-005a A03 Quand il commença à aller à l’école, il abandonna l’euskara. Ce qu’il sait il l’a appris avant d’aller à l’école. Il lui est plus facile de s’exprimer en castillan qu’en euskara, parce qu’il ne parle pratiquement jamais en euskara et que, si l’on ne parle pas, on oublie. Dans tous les villages de Aezkoa on parle en castillan. Abaurregaina et Aria sont les villages où l’on parle le plus en euskara. Il y a deux ans, ils mirent sur pied des cours du soir et certains commencèrent à étudier l’euskara, mais pour apprendre il faut du temps, des efforts et la volonté. En France on parle en euskara.
IC-003c A02 Ses enfants ne savent pas l’euskara, il ne leur a pas appris. Maintenant les enfants ont commencé à apprendre l’euskara à l’ikastola de Jaurrieta, mais s’ils ne le parlent pas à la maison ils l’oublient et ne l’apprennent pas.
IC-006b A01 A Orbara et Orbaitzeta, les gens de son âge sont bascophones, et avec eux il parle en euskara. Les plus jeunes ne sont pas bascophones.
II-162b B10 école:études